Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Royal Air Maroc (RAM) va augmenter ses vols sur la ligne Abidjan-Casablanca qui passeront de 7 à 9 par semaine à compter du 14 juin 2016, à appris l’AIP jeudi auprès du  représentant régional de cette compagnie, Khalid Tazi.

« A compter du 14 juin, nous aurons un vol de plus tous les mardis et vendredis, à côté du vol quotidien que nous offrons tous les jours de la semaine à 1H45 mn ; Cette décision fait suite à la demande de nos clients qui voulaient un ou deux vols de plus par semaine », a confié M. Tazid à l’AIP.

Les deux nouveaux vols, partiront chaque mardi et chaque vendredi de l’aéroport d’Abidjan à 17H30 (locales et GMT) pour atterrir à Rabat le même jour à 21H20 locales, a-t-il précisé.

« Il s’agit aussi de répondre à la demande du marché ivoirien surtout les passagers au départ d’Abidjan, auxquelles offrons deux plages horaires avec de bonnes continuations à partir du hub Casablanca », a ajoutéKhalid Tazi.

La compagnie Royal Air Maroc qui indique avoir atteint le cap de 100.000 passagers par an au départ d’Abidjan, se classe désormais en troisième position sur le marché ivoirien derrière Air Côte d’Ivoire et Air France.

AIP

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Voirie, électricités, éducation, santé, transports… La renaissance ivoirienne est en train de sonner. En effet, les bailleurs de fonds n’ont pas boudé la réunion du Groupe consultatif organisée par le gouvernement ivoirien du mardi 17 au mercredi 18 mai 2016 à Paris. Une rencontre qui visait à l’origine à mobiliser 4000 milliards de francs CFA, en vue du financement d’une partie de la contribution réservée à l’Etat dans le cadre du Plan national de développement 2016-2020 (PND 2016-2020.

Un coup de maître
L’Etat qui est censée contribuer à hauteur de 11 000 milliards de francs CFA dans le financement du PND 2016-2020 estimé à un budget global de 30 000 milliards, s’est dit capable de mobiliser 7000 milliards sur la base des ressources internes et décidé de mobiliser 4000 milliards  restant auprès des bailleurs de fonds.
Un coup de maître, peut-on dire ; au terme de ces deux jours de consultations à Paris, l’on peut dire que la Côte d’Ivoire peut compter sur le soutien des bailleurs étrangers pour financer son développement économique.
Bien plus que les 4000 milliards recherchés, c’est près 8000 milliards de FCFA qui ont été mobilisés à cette occasion par le gouvernement ivoirien. Ce qui va permettre au pays de se lancer résolument sur le chemin de l’émergence économique avec de grands projets infrastructurels, économiques et sociaux.
La Côte d’Ivoire a renoué avec la croissance économique (autour de 9% durant les trois dernières années) et la stabilité politique après une décennie de crise militato-politique.

Abdoul Razak Dembélé

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Depuis son accession au pouvoir en avril 2011, le président ivoirien Alassane Ouattara s’est lancé dans un vaste programme de relance économique. Elan marqué par de grands chantiers d’infrastructures et la mise en œuvre de réformes institutionnelles visant à assainir le climat des affaires.

Entrée remarquable

Toutes ces actions portées par une diplomatie agressive qui a permis de repositionner la Côte d’Ivoire sur la scène internationale. Mais surtout, l’on note son option pour l’éco-diplomatie ou diplomatie économique, qui confère aux représentations diplomatiques et consulaires la mission de soutenir les efforts de relance économique du gouvernement en servant d’ « interface » entre les opérateurs privés nationaux et ceux de leurs pays d’accréditation afin de trouver de nouveaux débouchés pour les produits industriels ivoiriens et de mobiliser les investissements directs étrangers.

Grâce à cette offensive diplomatique et une politique économique clairement orientée vers la croissance, le Chef de l’Etat a permis à la Côte d’Ivoire de renouer avec le progrès économique et social. En témoigne de nombreuses réalisations et la réhabilitation d’infrastructures dont des ponts, des routes des hôpitaux, des écoles, ainsi que l’électrification et l’adduction en eau potable de plusieurs localités. Des chantiers qui, en plus des investissements du secteur privé, ont permis la mobilisation de plus de 15 000 milliards de francs CFA.

Ouattara, on peut se permettre de le dire, a réussi une entrée remarquable dans l’Histoire en permettant à son pays, après près d’une décennie de marasme économique du à la longue crise socio-politique de 2002-2011, à renouer avec la croissance qui a oscillé autour de 9% durant les trois dernières années.

Toutefois,  la question, la bonne, qu’il convient de se poser, est celle-ci : Ouattara pourra-t-il se maintenir dans l’histoire ? Un défi qui pose la problématique de la consolidation des acquis du premier quinquennat de l’ex-DG du FMI.

Comment s’y maintenir

En effet, si le premier mandat d’Alassane Ouattara lui a permis de relancer, tant bien que mal, la machine économique du pays, force est de constater que tous ces acquis, en bien de points, suscitent des inquiétudes. Plusieurs routes réhabilitées ou construites sont devenus quasi-impraticable seulement quelques jours après les travaux. Le chômage et la délinquance juvénile continuent de constituer une problématique majeure. Abidjan et les grandes villes continuent de sombrer dans l’insalubrité. La santé va mal. Très mal. L’école reste otage de la FESCI et des humeurs des syndicats d’enseignants, sans oublier le manque d’instrument pédagogiques dans les universités. La corruption, les dessous de tables, la gabegie… doit-on encore en parler ? La pauvreté des couches les plus vulnérables ne s’est pas amélioré malgré la forte croissance, tandis que la veuve et l'orphélin continuent d'être spolier de leurs bien, de leur héritage, de tout ce qui leur reste.  A quand la livraison des premiers logements sociaux aux prix sociaux tels que promis ? A quand une véritable réponse à la défaillance sanitaire ?

Globalement, un spécialiste en macro-économie dirait que ça va bien en Côte d’Ivoire. Mais dans le détail, le citoyen lambda, le jeune en panne de repère, la femme sans soutien, la jeune fille livrée à elle-même, se posent des questions, se demandent bien si tous ces discours de croissance les concernent, eux.

Alors, tenir compte de ces préoccupations et y appliquer des solutions et correctifs idoines, tel devrait être le défi actuel d’Alassane Ouattara. Car se lancer sur la dernière ligne droite pour l’émergence économique, sans consolider les acquis du premier mandat serait manquer au second rendez-vous de l’Histoire qui consiste à s’y maintenir. Et qui serait aussi synonyme de de mauvais présage quant à la mise en œuvre du Plan national de développement 2016-2020 (PND 2016-2020).

Y rester

Mais une fois ce réglage opéré avec réussite, Ouattara pourra songer à s’attaquer effacement à cet ambitieux programme qui vise à mener la Côte d’Ivoire dans le rang des pays émergents. Avec une prévision d’investissement de 30 000 milliards de francs CFA d’ici 2020.

A côté, d’autres challenges comme la consolidation de la démocratie, la réconciliation nationale et la cohésion sociale, seront des enjeux importants pour la gouvernance Ouattara durant ce second mandat. C’est à ce prix qu'il réussira sa sortie. Que son nom pourra demeurer, rester, et être gravé dans l’Histoire. Pour que le mythe ne l’emporte pas sur la réalité.

 

Armand Tanoh 

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 Un centenaire et son épouse, une septuagénaire ont reçu le sacrement du baptême, dimanche, au nombre d’une dizaine de fidèles ayant été consacrés, à l’occasion de la Pentecôte à la chapelle Saint-Maurice de Ouéréguékaha, à 26 Km  de Niakaramadougou dans le Centre-nord de la Côte d'Ivoire.

Jean Kalpy Touré, né vers 1916 et doyen d’âge à Ouéréguékaha , et son épouse Marie-Madeleine Yranouh Koné ,75 ans se sont également unis  devant Dieu après leur baptême.

 

Le Vicaire de la paroisse Saint-Joseph de Niakaramadougou, Marcel Elo a  au cours de la célébration liturgique, exhorté ces  « nouveaux-nés dans la Foi  » à se mettre résolument à la suite du Christ et à poursuivre, remplis de l’Esprit Saint, l’œuvre d’évangélisation pour la Gloire de Dieu.

 

Jean et Marie-Madeleine Touré comptabilisent 55 années de vie en couple avec 11 enfants, dont six filles et cinq garçons.

 

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Le premier ministre ivoirien, Kablan Duncan, a annoncé mardi lors d’un entretien sur RFI, que la Côte d’Ivoire doit relever en terme économique, cinq défis pour les cinq ans à venir.

Il s’agit de la poursuite de la bonne gouvernance, la transformation structurelle de l’économie en une économie industrialisée,  la promotion de la jeunesse et des femmes, l’amélioration des conditions de vie des Ivoiriens et l’Ivoirien nouveau.

Les travaux du Groupe Consultatif pour le financement du PND 2016-2020 ont débuté, ce mardi, à la représentation française de Banque mondiale à Paris, en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan, du Secrétaire général de la Présidence de la République, Amadou Gon Coulibaly et de la ministre du Plan et du Développement, Kaba Nialé.

Ces travaux visent à mobiliser auprès des partenaires au développement 4.425 milliards FCFA au titre du secteur public. Ce montant représente la part de financement sur un montant global d’investissement de 30.000 milliards FCFA d’investissements, soit 63% incombant au secteur privé et 37% au secteur public. Cette première journée est consacrée aux partenaires multilatéraux et bilatéraux.

La deuxième journée dédiée aux investisseurs sera marquée, mercredi, par des présentations sur l’environnement des affaires en Côte d’ Ivoire, les opportunités d’affaires et le portefeuille de projet du PND 2016-2020.

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Un acteur de la filière mangue relève « une avancée notable » dans la lutte contre la mouche des fruits, notant  toutefois des difficultés pour le producteur avec la technique de pulvérisation.

« Nous avons remarqué qu’avec la contribution de l’État ivoirien, dans la lutte contre la mouche des fruits, il y a eu très peu de problèmes concernant le fléau cette année », a indiqué, dimanche, lors d’un entretien avec l’AIP M. Coulibaly Sigagkota Sidiki, producteur, transformateur et exportateur de mangue. Il est  le responsable de la Société de coopérative simplifiée de Développement des Fruits et Légume de Côte d’Ivoire dont le siège social est situé à Ferkessédougou.

Selon, Sidiki, même si la bataille  sur la mouche des fruits est remportée grâce à l’apport du gouvernement ivoirien, ce n’est pas mauvais  de signaler  que la méthode de lutte notamment la technique de pulvérisation méthode actuellement utilisée, relève quelques pénibilités pour le producteur de mangue qui a un verger d’une superficie plus  importante, si bien que certains parmi eux y ont renoncé, à bout de force qu’ils étaient.

« Cette méthode est efficace et moins pénible  seulement quand il s’agit de petits vergers. Elle devient très vite fatigante quand le verger a une grande superficie, car le producteur devrait fournir beaucoup d’effort et d’énergie pour pulvériser tous ses manguiers. Ce n’est pas une petite affaire. De plus, les feuilles des manguiers sont aspergées de deux produits, l’un appâte la mouche et le second la détruit, mais le problème est que, plus volatile, et en faible quantité, le second produit se dissipe très rapidement, si bien qu’en cas de pluie ou d’intempérie quelconque, il faut vite revenir recommencer le travail. Ce n’est pas facile, » a relevé, M. Coulibaly, fort de ses 25 ans d’expérience dans la filière.

« Ce serait plus facile et durable de procéder par la méthode de pose de piège à mouche dans les vergers. C’est une technique plus simple qui consiste à poser des produits qu’on met dans des boîtes et qu’on pose dans les vergers, sur les tiges des manguiers. Ils durent et permettent de résorber les difficultés relevées, » a conseillé M. Coulibaly.

« La campagne des mangues a officiellement pris fin depuis le 10 mai. Nous encourageons les producteurs a toujours traiter leurs vergers, car avec la transformation de la mangue fraîche en mangue séchée, on peut encore acheter leurs mangues. Qu’ils poursuivent donc le traitement jusqu’à réduire les mouches à néant.

La mangue fait 120 jours dans un manguier, de la floraison à la maturité, apprend-on par ailleurs.

AIP

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Les choses commencent bien pour le gouvernement ivoirien à Paris où s’est ouvert le mardi 17 mai 2016 le Groupe consultatif destiné à récolter plus de 4000 milliards de FCFA auprès des bailleurs et partenaires au développement. Un fonds qui va servir à compléter la part de contribution de l’Etat ivoirien  pour le financement du Plan national de développement 2016-2020 de la Côte d’Ivoire. Ce Plan qui vise un investissement d’au moins 30.000 milliards, dont 60% réservés à la part du secteur privé, sur la période concernée, devrait permettre à terme à la Côte d’Ivoire de se hisser au rang des pays émergents.

Pour cette première journée du Groupe consultatif, il ressort selon de bonnes sources que les partenaires de la Côte d’Ivoire ont déjà annoncé des intentions de contribution à hauteur de plus 2000 milliards de FCFA sur les 4000 escomptés dans le cadre de cette opération. "Nous pensons que nous allons même dépasser nos prévisions", a confié à La Diplomatique d’Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net), un membre de la délégation ivoirienne.

Les participants ayant déjà fait des promesses de financement sont entre autres, la France, les USA, la Banque islamique pour le développement et de la Commerce (BIDC), l’Union européenne, la DADEA, la BEOAD, le système des Nation unies.

Le PND comprend la réalisation de plusieurs grands projets infrastructurels et socioéconomiques, ainsi que des actions en faveurs de la réduction de la pauvreté et du chômage à travers le développement de m’industries et des services.

Armand Tanoh

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Carla Frangilli, l’Ivoirienne championnat d’Afrique de tir à l’arc lors du dernier championnat d’Afrique en Namibie, sera mardi sous le coup de 19 heures, à Abidjan pour un séjour de cinq jours, annonce une note d’information de la Fédération ivoirienne de volleyball (FIVVTA).

Selon le secrétaire général chargé de la communication, Wilfried Dissou Razak, ce séjour qui prendra fin dimanche, aura comme points forts, deux audiences avec le ministre des Sports et loisirs, Amichia François et les dirigeants du Comité national Olympique (CNO), un stage de perfectionnement à l’Institut national de la jeunesse et des sports de Marcory, une séance d’entraînement et une visite touristique de Yamoussoukro avec en ligne de mire, la basique.

La même source précise que la nouvelle coqueluche du tir à l’arc ivoirien effectuera le déplacement d’Abidjan en compagnie de son entraîneur, Vittorio Frangilli qui est également encadreur de l’équipe nationale de Côte d’Ivoire. Elle profitera pour présenter sa médaille de championne continentale aux responsables du sport.

Pour avoir décroché la médaille d’or en janvier, au championnat d’Afrique de la discipline en Namibie, Carla Frangilli fait partie des 15 athlètes Ivoiriens qualifiés pour les Jeux Olympiques d’août à Rio de Janeiro (Brésil), rappelle-t-on.

 

AIP

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Le Président Faure Gnassingbé a annoncé mercredi l’adhésion du Togo  à l’Accord d’Établissement de la Banque Africaine d’Import-Export (Afreximbank), faisant de cet Etat, le 40ème pays Africain à devenir membre de l’institution de financement du commerce.

Le Président togolais qui a fait l’annonce lors d’une rencontre avec Dr. Benedict Oramah, le Président d’Afreximbank, a déclaré que la décision du pays à rejoindre la Banque était guidée par le fait que la stratégie d’Afreximbank, en particulier sa vision du commerce intra-Africain, était en droite ligne avec la vision du Togo et les besoins de développement économique du pays.

Il a ajouté que le Togo était résolument engagé à assurer la croissance du secteur privé local, l’augmentation des capacités de la production énergétique du pays et le développement d’infrastructures de transport et de logistique à relier au port de Lomé et son aéroport, en vue de servir les besoins du commerce régional.

Dans sa réponse, Dr. Oramah a indiqué qu’en devenant membre, le Togo deviendrait éligible pour bénéficier de la large gamme de services et programmes offerts par Afreximbank, ce qui permettrait d’accélérer le développement des projets d’infrastructures en cours. Il a appelé le Togo à conclure rapidement la ratification de l’Accord, tel que le stipulent les termes de l’Accord d’Abidjan de 1993 établissant la Banque.

Les pays participants d’Afreximbank comprennent à ce jour l’Angola, le Bénin, le Botswana, le Burkina Faso, le Cameroun, le Cap-Vert, le Tchad, la Côte d’Ivoire, la République Démocratique du Congo, l’Egypte, l’Ethiopie, le Gabon, la Gambie, le Ghana, la Guinée, la Guinée Bissau, le Kenya, et le Lesotho. D’autres incluent le Libéria, le Malawi, le Mali, la Mauritanie, l’île Maurice, le Maroc, le Mozambique, la Namibie, le Niger, le Nigéria, la République du Congo, le Rwanda, le Sénégal, les Seychelles, la Sierra-Leone, le Soudan, la Tanzanie, la Tunisie, l’Ouganda, la Zambie et le Zimbabwe.

AIP

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Sur invitation du Secrétaire Général de l’Union internationale des télécommunications (UIT), Houlin Zhao, le Ministre ivoirien de l’Economie Numérique et de la Poste, Porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné Koné, a participé du 03 au 05 mai, au Forum du Sommet mondial de la Société de l’Information (SMSI) à Genève en Suisse.

Ce sommet organisé conjointement par l’UIT, l’UNESCO, le PNUD et la CNUCED, s’est tenu au siège de l’UIT, a été l’occasion pour le ministre, de présenter les acquis de la Côte d’Ivoire. En sa qualité d’orateur invité de haut rang, le ministre a fait une déclaration de politique générale. Elle a porté essentiellement sur deux points, à savoir les mesures clés adoptées en vue de l’éclosion de l’économie numérique en Côte d’Ivoire, et l’impact de ces mesures et les perspectives à moyen terme.

Bruno Koné s’est appesanti sur les grands chantiers entrepris par le gouvernement ivoirien et son département en particulier, en vue de bâtir une Economie Numérique inclusive, porteuse de valeurs et de savoirs.  Il a, entre autres, évoqué les mesures visant l’adaptation du cadre institutionnel et celles visant la mise  à niveau et le développement d’infrastructures profondes et robustes. Notamment la construction de 7000 km d’un réseau de fibre optique, l’acquisition de câbles sous-marins, le lancement en 2013 de la 3 G et de la 4 G en 2016, dans le cadre des licences globales.

En Côte d’Ivoire, les statistiques établissent 25 millions d’abonnés mobiles (soit un taux de couverture de 100%) contre 16 millions en 2011. Dans le même temps, le nombre d’abonnés internet est passé de 200.000 à huit millions, grâce notamment au lancement en 2013, de la 3G. Il a souligné le succès du Mobile Money qui enregistre huit millions d’utilisateurs et un volume journalier de transactions de 15 milliards FCFA.

Concernant les perspectives pour la période 2016-2020, la Côte d’Ivoire envisage de porter le taux de couverture data/internet à plus de 90% de la population et le taux de pénétration du haut débit à près de 50 %.

Pour ce faire, l’Etat entend, à travers son programme de gouvernance électronique, fournir en ligne aux Ivoiriens, environ 300 services informationnels et une centaine de services transactionnels et concrétiser la dématérialisation de l’ensemble des processus de l’administration. La mise en œuvre de l’identifiant unique pour l’ensemble des citoyens figure aussi parmi les priorités ainsi que l’encadrement des jeunes, pour l’éclosion du tissu de PME fortes et créatrices de valeurs.

AIP

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