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Le Département en charge de l’Environnement de la CEDEAO a organisé de mardi à jeudi à Abuja au Nigeria, un atelier d’information et de renforcement des capacités pour le personnel des départements techniques de la Commission de la CEDEAO, en raison du caractère complexe et transversal de la question des changements climatiques pour les différents secteurs de développement de la région ouest-africaine.
S’exprimant à l’ouverture de l’atelier, le Commissaire en charge de l’Agriculture, de l’Environnement et des Ressources en Eau de la CEDEAO, M. Tchambakou Ayassor, représenté par Dr Johnson Boanuh, Directeur de l’Environnement, a relevé que « les changements climatiques constituent un problème complexe, qui, bien qu’étant de nature environnementale, a des conséquences sur beaucoup d’issues globales telles que la pauvreté, le développement économique, la croissance de la population, le développement durable et la gestion des ressources ».
Cet atelier permettra de renforcer, de manière synergique les actions en faveur des Etats membres de la CEDEAO dans leurs efforts de lutte contre les impacts des changements climatiques et la mise en œuvre de l’Accord de Paris en particulier.
L’atelier a permis de faire l’état des lieux des possibilités de financement des Fonds Climat et du Fonds Vert pour le Climat aux niveaux sous-régional et national, d’échanger sur le développement de programmes d’investissement transformationnel dans les Etats membres de la CEDEAO, et d’échanger sur les projets/initiatives en cours au sein de la Commission sur les changements climatiques et sur les orientations futures des activités y afférentes au niveau sous-régional.
Pour rappel, la réponse aux changements climatiques a conduit à l’adoption de la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) en 1992, en vue de considérer ce qui pouvait être fait pour réduire le réchauffement global et faire face à toute hausse inévitable des températures.
En 1995, des négociations ont débuté pour renforcer la réponse aux changements climatiques et deux ans plus tard, le Protocole de Kyoto fut adopté. Tous les Etats membres de la CEDEAO ont ratifié la CCNUCC et le Protocole de Kyoto qui comptent respectivement 196 et 192 Parties.
Des Conférences des Parties (COP) se sont succédées depuis 1995 jusqu’à la dernière, la COP21, tenue du 30 novembre au 11 décembre 2015 à Paris et qui a abouti à l’adoption de l’Accord de Paris sur le climat. Comme tous les autres pays parties à la CCNUCC, les Etats membres de la CEDEAO ont déjà commencé à signer cet Accord et engagé le processus de ratification.
AIP
Dr Adama Coulibaly, anciennement directeur général adjoint chargé du coton est désormais directeur général par intérim du Conseil du coton et de l’anacarde après la suspension par le gouvernement de l’ancien directeur général, Sanogo Malamine, à la suite d’un audit.
La passation des charges s’est faite mercredi dans les locaux du Conseil du coton et de l’anacarde, a-t-on appris de source proche de l’organe de régulation de la filière cajou.
Le directeur général du Conseil du coton et de l’anacarde, Malamine Sanogo, et son adjoint chargé de l’anacarde, Mamadou Berté, ont été suspendus de leurs différentes fonctions le 26 mai dernier par le gouvernement, à l’issue d’un audit réalisé dans la filière coton et anacarde.
Le cabinet de conseil Deloitte commis à l’audit n’a pas encore livré ses conclusions, indique-t-on. La Côte d’Ivoire, est depuis 2015, le premier pays exportateur mondial de la noix de cajou avec 700.000 tonnes, devant l’Inde. Cette année, le pays espère réaliser près de 750.000 tonnes.
AIP
Le président directeur général (PDG) de l’Institut de recherche pour le développement (IRD), Pr. Jean-Paul Moatti, a salué, mercredi, à Bouaké, les efforts des autorités ivoiriennes et les a encouragées à consolider la recherche en entomologie médicale et vétérinaire pour empêcher les insectes vecteurs de maladies de sévir davantage contre la santé des populations.
« S’il n’y avait pas de chercheurs en entomologie médicale, l’humanité dans son ensemble serait démunie », estime le Pr Moatti, justifiant que l’essentiel des maladies émergentes qui menacent notre planète sont causées par des virus et autres parasites que l’on rencontre généralement dans la forêt tropicale et qui sont transmis aux hommes par des insectes.
Le travail de l’entomologie consiste à empêcher les insectes vecteurs de maladies de sévir. L’IRD et l’OMS ont créé cinq centres d’entomologie médicale à travers le monde. L’on en trouve en Indonésie, au Venezuela, et trois en Afrique précisément à Bouaké (en Côte d’Ivoire), à Nairobi (au Kenya) et au Nigéria.
Le centre de Bouaké a été installé en 1981 et 83 entomologistes y avaient été formés. Rattaché à l’université Alassane Ouattara, il forme désormais aux diplômes de Master qui a été créé en collaboration avec l’université de Montpellier sous la coordination de l’Institut de recherche pour le développement. A cause de la crise de 2002 la formation avait été délocalisée au Bénin mais depuis quelques années, les activités ont repris dans ce centre et neuf diplômes ont été déjà décernés à des apprenants de cinq nationalités différentes.
AIP
Les premières dames d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie-Pacifique dont Mme Dominique Ouattara, ont promis de travailler pour les adolescentes et les jeunes femmes, afin de mettre ensemble fin au Vih/Sida en 2030.
Ces épouses de chefs d’Etat s’engagent également à réaliser les promesses des Objectifs de Développement Durable (ODD). Elles l’ont exprimé, mercredi à l’occasion d’une rencontre au siège des Nations-Unis à New-York.
Cette rencontre avait pour thème « En finir avec les vases clos: des adolescentes et des jeunes femmes autonomisées qui bénéficient de services intégrés ».
Dominique Ouattara pour une meilleure prise en charge des adolescentes
La première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, a plaidé pour une meilleure prise en charge des adolescentes atteintes du Vih/Sida, afin de faciliter leur accès aux services de dépistage et de soins du VIH/SIDA.
« Il nous faut redoubler d’efforts en matière de prévention et d’accès au traitement ARV des jeunes et adolescents, notamment les filles, au risque de compromettre l’avenir de nos Nations respectives, puisque les jeunes constituent le fer de lance pour le développement de nos pays », a déclaré.
Au cours de cette rencontre qui avait pour thème «En finir avec les vases clos: des adolescentes et des jeunes femmes autonomisées qui bénéficient de services intégrés», Mme Ouattara a proposé que pour y parvenir, il faudrait créer une coalition mondiale qui regroupera les gouvernements, les partenaires techniques et financiers et la société civile.
AIP
L’Agence emploi jeune (AEJ) a préocédé, jeudi, à Abidjan, au lancement du répertoire des compétences jeunes, en vue de présenter son fonctionnement et communiquer sur ses avantages.
Selon le Ministre de la Promotion de la Jeunesse, de l’Emploi des Jeunes et du Service civique, Sidi Touré, ce répertoire est un dispositif d’accompagnement des programmes déjà actifs en faveur de l’insertion professionnelle des jeunes.
« La mise en place de cette base de données répond à la nécessité de faire une meilleure exposition des jeunes ivoiriens compétents, sans distinction de qualification de métier, de lieux de résidence (…), et qui sont peu sollicités pour apporter leur contribution au développement de la Côte d’Ivoire », a-t-il expliqué.
L’Administrateur de l’AEJ, Danho Pierre, a pour sa part, expliqué que le répertoire des compétences jeunes vise à constituer une base de données nationale pour les « Ivoiriens excellents, talentueux et leaders ».
« instrument stratégique de gestion des ressources humaines »
Le répertoire des compétences jeunes de Côte d’Ivoire, dont les travaux d’élaboration ont été lancés jeudi à Abidjan, sera un « instrument stratégique de gestion des ressources humaines », estime le ministre de la Promotion de la jeunesse, de l’Emploi des jeunes et du Service civique, Sidi Touré.
Ce document initié par l’Agence emploi jeunes (AEJ) « sera d’abord pour l’Etat, un instrument stratégique de gestion prévisionnelle des ressources humaines, des emplois et des compétences, ainsi qu’une base d’analyse de la politique de formation », a déclaré M. Touré, lors de la cérémonie de lancement des travaux de ce répertoire à l’Ecole nationale supérieure de statistique et d’économie Appliqué (ENSEA).
Il servira également « référence pour l’ensemble des parties prenantes, en matière de recherche des ressources humaines », a-t-il poursuivi, laissant observer le répertoire va constituer « une solution aux besoins en ressources humaines qualifiées et de qualité, en direction des investisseurs et des organisations internationales ».
Le ministre Sidy Touré a engagé l’Agence emploi jeune à conduire cette opération avec efficience, afin de relever les défis qui se présentent à la Côte d’Ivoire en matière d’insertion professionnelle des jeunes.
La Côte d’Ivoire compte quelque 22 millions d’habitants dont près de 10% de la population active, à majorité jeune, est touchée par le chômage selon le gouvernement.
AIP
Les services des douanes aéroportuaires ont effectué une saisie de devises portant sur la somme de 1,679 millions d’euros, soit plus de 1,101 milliard de francs CFA sur un voyageur qui encourt une amende représentant un à cinq fois le montant saisi.
Le voyageur en partance pour le Liban, a été arrêté, mardi, au check-point de la douane avant l’embarquement. Le prévenu après 48 heures de détention à la brigade de la gendarmerie de l’aéroport, a été transféré, jeudi, à la brigade de recherche pour nécessité d’enquête, a fait savoir, vendredi, la directrice des services aéroportuaires de l’administration des douanes, le colonel Diabi Koné Fatoumata, lors d’un point de presse.
Selon Colonel Fatoumata, le prévenu, en qualité de résident, est autorisé à emporter des devises jusqu’à concurrence de deux millions de francs CFA pour les déplacements dans la zone hors Uemoa. Et au-delà de ce montant, a-t-elle poursuivi, il est tenu d’avoir l’autorisation préalable du ministre de l’Economie et des Finances.
« Dans le cas d’espèce, l’usager n’avait aucune autorisation préalable du ministère de l’Economie et des Finances; de ce fait, il a violé les lois et règlements. Il est donc en infraction. », a-t-elle commenté, non sans féliciter les agents pour leur professionnalisme.
La réglementation douanière relative à la sortie de devises repose sur le code des douanes, la loi sur le contrôle des changes et le règlement de l’Uemoa R09/2010/CM/UEMOA/ en son article 23, indique-t-on.
AIP
Aux yeux de certains investisseurs, la Côte d'Ivoire se présente comme une alternative sérieuse pour l'investissement en Afrique, dans un contexte où le repli des prix des matières premières a porté un coup aux économies des cinq premières puissances africaines (Nigéria, Egypte, Afrique du sud, Angola et Ethiopie).
« Nous préférons les économies diversifiées comme la Côte-d'Ivoire qui affiche l'un des taux de croissance les plus élevés des marchés émergents », a fait savoir Mark Baker, le directeur des investissements sur les produits à rendement fixe des marchés émergents, pour le compte de l'assureur britannique Standard Life, selon des propos rapportés par Bloomberg. « Nous avons confiance dans les décideurs politiques qui semblent y faire un bon travail, et le ratio de la dette publique sur le PIB est effectivement en baisse, ce qui est très rare dans cette région », a poursuivi l’investisseur.
Pour sa part, Hurley Doddy, un des partenaires fondateurs et co-directeurs de la firme de private equity Emerging Capital Partners, « la Côte d'Ivoire a affiché une robuste croissance ces deux dernières années, et cela devrait se poursuivre ». De son point de vue, également rapporté par Bloomberg, la première économie de la zone UEMOA est surtout la mieux positionnée des pays de l'Afrique subsaharienne francophone. En raison de l'attachement de leurs devises (FCFA) à la monnaie européenne (Euro), les pays francophones, explique Doddy, résistent bien mieux aux défis monétaires liés à la hausse des taux américains et au repli des prix des matières premières que connaissent les pays africains dans leur ensemble.
Rappelons que Standard Life gère 1,4 milliard $ d'actifs obligataires dans les pays émergents, dont 98 millions $ en Afrique.
Quant à Emerging Capital Partners, ils sont présents dans la région depuis une quinzaine d'années. Sa branche Eranove continuera de progresser en Côte d'Ivoire, au moins jusqu’à la libéralisation des secteurs de l'eau et de l'énergie voulue par le président Alassane Ouattara. En 2015, ECP a pris une option significative dans le groupe NSIA Bank CI qui poursuit une expansion soutenue, tout comme le groupe Togolais Orabank dans lequel ECP possède aussi une participation.
Source : agenceecofin.com
Un camion de ramassage d’ordures a plongé, vendredi aux environs de 3 h du matin, dans la lagune Ebrié à partir du Pont De Gaule à Abidjan-Plateau, faisant au moins un mort et un porté disparu.
Selon le Commandant en second du Groupement des sapeurs pompiers militaires (GSPM), Lieutenant Colonel Koné Naklan, qui était présent sur les lieux à 9H 00 avec des éléments de son unité, c’est vers 4 heures qu’ils ont été alertés par des individus de ce qu’un camion aurait plongé dans la lagune.
De concert avec les autres forces de défense et de sécurité, les recherches ont permis de repêcher un corps. Il a été identifié et répondrait au nom de Doumbia Namory, selon les informations des policiers du commissariat du premier arrondissement du Plateau.
Le Lt Colonel Koné a annoncé le relevage dans les minutes qui suivent du camion noyé à l’aide de la grue de l’Etat major des armées, ajoutant que les recherches se poursuivront pour trouver le deuxième occupant du camion.
Cet accident intervient après un autre qui a eu lieu jeudi au niveau du stade Félix Houphouet-Boigny, impliquant un minicar qui a fait un mort et une vingtaine de blessés, rappelle-t-on.
AIP
La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) de l’Union économique et monétaire ouest-africaine a clôturé le mois de mai 2016 en baisse, au regard de l’évolution des Indices et des Capitalisations.
L’indice BRVM 10 a cédé 6,29 % en passant de 286,96 à 268,92 points. L’indice BRVM Composite pour sa part, s’est affiché à 305,73 contre 318,68 points précédemment, soit un repli de 4,06 %.
La capitalisation boursière du marché des actions s’est affichée à 7 590,52 milliards de FCFA contre 7 863,77 milliards de FCFA en avril 2016. La capitalisation obligataire s’est quant à elle, affichée à 1 786 milliards de FCFA contre 1 796,73 milliards de FCFA précédemment.
Concernant les transactions du marché, la valeur totale des transactions enregistrées au cours du mois de mai 2016, s’est établie à 30,46 milliards de FCFA pour 41 774 822 titres échangés contre 30,67 milliards de FCFA pour 21 939 988 titres traités le mois précédent.
La plus forte hausse a été enregistrée par CFAO MOTORS CI (+24,52 %) tandis que la plus forte baisse est affichée par BANK OF AFRICA SENEGAL avec un repli de 14,34 %.
Les titres les plus actifs demeurent – en volume – ECOBANK TRANSNATIONAL INCORPORATED TG avec 40 358 294 titres transigés et – en valeur – SONATEL SN qui a totalisé 7,17 milliards de FCFA de capitaux échangés.
AIP