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L’Inspection générale des Armées envisage la création d’un poste de Médiateur des Armées, selon une d’information transmise, jeudi, à l’AIP.
Ce Médiateur « sera directement rattaché à l’Inspection générale des Armées », a annoncé mercredi le Général Detoh Letho qui effectuait une visite à l’Etat major général des Armées et au Commandement supérieur de la gendarmerie.
Il a également annoncé des partenariats à nouer avec les Inspections générales des Armées des pays limitrophes ainsi que celles de la France et des Etats-Unis d’Amérique, afin de s’imprégner de leur fonctionnement.
L’Inspecteur général des Armées, conseiller permanent du ministre de la Défense, a la charge d’étudier, d’informer et d’inspecter auprès des unités, en matière de doctrine générale d’emploi et d’organisation des Armées.
AIP
Les responsables de la Nouvelle pharmacie de la santé publique de Côte d’Ivoire (NPSP-CI) ont exprimé leur reconnaissance au gouvernement américain pour son soutien au chantier de reforme de la structure, à travers un hommage à l’ambassadeur qui a piloté cette aide, durant ces trois dernières années, Terence McCulley, à qui la salle de conférence de l’établissement, nouvellement rénovée, a été dédiée.
Flambant neuve, la dorénavant « salle excellence Terence Patrick McCulley », symbole de la reconnaissance de la nouvelle PSP-CI aux Etats-Unis d’Amérique et à son ambassadeur, en fin de mission après trois ans passés en Côte d’Ivoire, a été inaugurée officiellement mercredi, en présence de la ministre ivoirienne de la Santé et de l’Hygiène publique, Raymonde Goudou Coffie.
La première responsable du système de Santé a salué, à l’occasion, l’initiative de NPSP-CI, soulignant le fait que cette cérémonie d’hommage vient célébrer l’excellence des relations entre la Côte d’Ivoire et les USA. Ces rapports excellents, selon elle, ont favorisé l’appui du gouvernement américain au chantier de reforme de ce qui était auparavant la Pharmacie de la santé publique (PSP) à hauteur de quelque quatre milliards F CFA.
Ce montant a notamment servi à la construction d’un nouvel entrepôt ultra moderne de plus de 4000 palettes qui a presque doublé la capacité de stockage de l’établissement. Une partie des anciens entrepôts a été également rénovée. Cette aide a servi à apporter un appui technique pour une gouvernance plus moderne et plus efficace de la structure.
Une transformation qui a permis notamment à la Nouvelle PSP-CI, au cours du premier semestre 2016, d’assurer « un taux de disponibilité de 98% pour les produits vitaux et plus de 90% pour les autres médicaments essentiels à l’index pharmaceutique 2016 », s’est félicité la ministre Raymonde Goudou.
« Le système de santé ivoirien que j’ai l’honneur de diriger vous est redevable pour toutes les actions du gouvernement américain», a-t-elle lancé à l’endroit du diplomate qu’elle a par ailleurs élevé, au cours de la cérémonie, au grade de « commandeur de l’ordre du mérite de la santé publique de Côte d’Ivoire ».
« J’accepte avec beaucoup d’humilité ces marques de reconnaissance. A travers, c’est l’ensemble du personnel de l’ambassade des USA en Côte d’Ivoire qui est honoré», a exprimé pour sa part l’ambassadeur McCulley, se félicitant notamment de ce que la Nouvelle PSP soit aujourd’hui « un modèle de réussite dans la sous-région Ouest africaine ». Il a souligné l’ « effet catalytique » qu’a eu, sur le développement de la structure, la transformation de sa forme juridique.
Notant que des défis restent toutefois à relever, il a réitéré le soutien du gouvernement américain, à travers son ambassade, à la Nouvelle PSP-CI et plus globalement au système de santé ivoirien.
AIP
« Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre d’années ». Ainsi peut-on résumer l’ambition d’Ibrahim Bakayoko dit « I’Bak » (lire « Aï BAK) de se mettre au service de son pays à l’hémicycle. Leader de jeunesse à Adjamé depuis plusieurs années, I’Bak a décidé de se présenter à la candidature aux prochaines législatives pour le compte de son parti le Rassemblement des républicains (RDR). Avec plus d’une dizaine de candidats à la candidature RDR pour deux sièges de député à Adjamé, le parti à la case verte devra choisir, à défaut de consensus, ses chevaux pour cette élection importante.
Ainsi, I’Bak qui rentre fraichement d’un séjour en France, entend, s’il est choisi candidat de son parti aux prochaines législatives, permettre à la jeunesse d’Adjamé d’avoir droit à la parole à tous les niveaux. Aussi localement qu’au plan national et international.
Comptable de profession en poste dans une représentation diplomatique étrangère à Abidjan, il jouit d’un bon soutien auprès des jeunes et des femmes, dont certains voient en sa candidature le début d’un changement dans le paysage politique local.
Adjamé, l’un des bastions imprenables du RDR à Abidjan depuis ces dernières décennies, est aussi lorgné par d’autres partis comme son grand allié le PDCI qui entend y revenir en force, et l’ex-parti au pouvoir le FPI qui prépare discrètement sa stratégie d’attaque du terrain.
I’Bak entend, s’il est élu, ouvrir un bureau à Adjamé pour recueillir les préoccupations des populations, mais aussi de s’impliquer d’avantage à la recherche de partenaires internationaux en faveur du bien être de sa communauté.
Armand Tanoh
Il n’y a « pas d’âge limite » pour bénéficier du fonds de soutien aux militants du Rassemblement des républicains (RDR, parti présidentiel), qui a été lancé vendredi par la direction de ce parti, a précisé, dimanche, le secrétaire général adjoint de la formation, chargé de l’organisation, de l’administration et du patrimoine, Gilbert Kafana Koné.
« Il s’agit d’un fonds qui rentre dans le cadre de la microfinance pour financer les militants qui mènent de petites activités rémunératrices de revenus ; tout militant y a droit, il n’y a pas d’âge de limite », a déclaré M. Kafana Koné, lors d’une tournée dans les « grins » (espaces de rencontre et de discussions) de Yopougon (Abidjan), en compagnie des membres de la direction départementale du RDR de cette commune.
Il a relevé que ce fonds d’un montant d’un milliard de francs CFA, qui a été possible grâce aux cotisations des cadres du RDR, permettra aux militants de postuler pour un prêt allant de 25.000 à 200.000 FCFA. L’unique condition d’y accéder étant de prouver son statut de militant avec « sa carte ou la preuve de son appartenance à un comité de base, une section », a-t-il expliqué.
Gilbert Kafana Koné, par ailleurs maire de Yopougon, a aussi longuement échangé avec les membres des « grins » sur divers sujets concernant la vie du parti et l’actualité politique nationale, notamment le processus de changement de la constitution ivoirienne. Il a appelé ses interlocuteurs à adhérer massivement à ce projet qui, selon lui, « permettra à la Côte d’Ivoire de consolider ses acquis de paix et de cohésion sociale pour un développement harmonieux ».
AIP
Dans un communiqué de remerciement publié samedi dans le quotidien ivoirien Le Patriote, la Communauté musulmane du Plateau (CMP) rappelle que les travaux de construction de l’édifice religieux continuent et que, pour ce faire, les contributions des bonnes volontés sont toujours attendues.
Dans le communiqué, le recteur de cette Mosquée, l’imam Cissé Djiguiba, et le président du comité de construction, M. Kessé Feh, expriment leur gratitude à tous les fidèles musulmans et les non-musulmans qui ont bien voulu apporter leurs contributions financières à la construction de la Mosquée Salam du Plateau, suite à l’appel à dons lancé en Août 2013.
« Aussi, ils informent tous les hommes et les femmes de bonne volonté, qui voudraient apporter leur contribution à l’édification de cette belle œuvre dédiée à ALLAH, qu’ils peuvent continuer de le faire jusqu’à la fin des travaux sur le compte N°101 100 00 2524, ouvert dans les livres de la United Bank for Africa (UBA), sise au Plateau, Boulevard Botreau Roussel. »
« Que leur acte de générosité ait l’Agrément d’ALLAH », concluent les signataires du communiqué de remerciement qui ont précisé, auparavant, que le montant total des sommes récoltées au 23 Mai 2016 se chiffre à 70 758 557 FCFA, selon le constat de Maître Ahamel Mélèdje, huissier de justice commis à cet effet.
« Le constat d’huissier certifie également que les versements effectués du 18 Août 2013, date de départ de l’opération au 23 Mai 2016, n’ont subi aucun retrait, à l’exception des ordres de débits de la banque, d’un montant de 183 800 FCFA, au titre des frais de tenue de compte », tiennent à préciser l’imam Cissé Djiguiba et M. Kessé Feh. Ils soulignent que la somme recueillie sera utilisée au règlement des factures relatives à certains travaux effectués à l’intérieur et à l’extérieur de la salle de prières.
Sept pays du continent africain viennent de bénéficier d’un projet régional destiné à aider leurs agriculteurs à faire face au changement climatique, a-t-on appris vendredi de sources officielles à Cotonou (Bénin).
Ce projet baptisé « Soutenir la transition vers une agriculture et des systèmes alimentaires intelligents face au climat » va profiter au Bénin, à la Côte d’Ivoire, à l’Ethiopie, à la Gambie, au Ghana, au Niger et à la Zambie.
Financé par la Norvège, il leur permettra « d’avoir un accès accru aux fonds d’adaptation et autres mécanismes de financement du changement climatique à travers les cadres nationaux et régionaux d’investissement pour l’adaptation au changement climatique », a confié à Xinhua le représentant au Bénin de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), Tiémoko Yole.
Il permettra également de renforcer les liens entre les instituts de recherche et les responsables politiques pour promouvoir les technologies appropriées de l’agriculture intelligente face au climat (AIC) et, enfin, de doter les Etats membres de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) d’une connaissance accrue de l’AIC.
Pour M. Yole, le concept de l’AIC, qui est au cœur de ce projet, a été développé par la FAO et été présenté pour la première fois à la conférence sur la sécurité alimentaire et le changement climatique qui s’est tenue à La Haye en 2010.
« Cette approche, qui a été depuis lors largement adoptée par la communauté scientifique et le monde du développement, vise trois objectifs principaux, à savoir : l’augmentation durable de la productivité et des revenus agricoles, l’adaptation et le renforcement de la résilience face aux impacts du changement climatique et la réduction et/ou la suppression des émissions de gaz à effet de serre », a-t-il expliqué.
Le représentant de la FAO rappelle que ce projet va être mis en œuvre dans un contexte international marqué par les récents engagements de la communauté internationale de réduire les émissions de gaz à effet de serre suite à l’Accord de Paris durant la COP21 en décembre dernier.
« Après l’adoption de l’Accord de Paris, il est important de continuer sur la lancée et de prendre des actions concrètes en vue d’assurer le changement nécessaire et d’adapter notre agriculture au double défi que représentent le besoin de produire plus et la nécessité vitale de préserver notre planète pour les générations futures », a souligné M. Yole.
Selon les prévisions, l’Afrique de l’Ouest sera l’une des régions les plus affectées par le changement climatique. Les scénarios montrent que la variabilité climatique observée est susceptible de s’accroître et de s’intensifier. Les manifestations sont la variation des niveaux de précipitations avec l’apparition d’inondations et de poches de sécheresse le long des campagnes agricoles, la dégradation des ressources naturelles et l’érosion du sol.
Les changements climatiques viennent donc accentuer les contraintes sur l’agriculture ouest-africaine qui dépend fortement des cultures pluviales.
« Il en résulte des impacts négatifs sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle, la disponibilité en eau et la santé humaine et animale », souligne Tiémoko Yole.
AIP
Certains parents à Tabou jettent des enfants à la rue sur des soupçons de sorcellerie, a révélé à l’AIP, la directrice du complexe socio-éducatif local, Soumba Coulibaly, indiquant avoir recueilli quatre cas de ce type dont ses services s’occupent présentement.
« Nous envisageons de les confier bientôt à des religieux, à des psychologues ou à la Croix-rouge, pour leur suivi et leur encadrement », a-t-elle fait savoir lors d’un entretien mercredi avec le correspondant local de l’Agence ivoirienne de presse.
La direction du Rassemblement des républicains (RDR, parti au pouvoir) a procédé, vendredi à son siège à Abidjan, au lancement du fonds de soutien d’une valeur de plus d’un milliard de francs CFA devant servir à aider ses militants dans le financement de leurs activités pour leur autonomisation.
Selon son secrétaire général par intérim du RDR, Ahmadou Soumahoro, ce programme s’inscrit dans une vision générale d’infléchir le taux de pauvreté à l’instar des action du gouvernement. Il a expliqué qu’au regard du taux de pauvreté qui est passé en Côte d’Ivoire de 51% en 2011 à 46% en 2015, « le RDR est résolument engagé à contribuer à faire baisser davantage ce taux ».
« Nous procédons aujourd’hui au lancement (de ce fonds) avec comme objectif, de contribuer à infléchir la courbe du chômage, en aidant nos militants à réaliser des initiatives d’auto emplois et autres activités génératrices de revenus », a-t-il ajouté, invitant ses militants à faire des sommes reçues, qui seront des prêts remboursables.
Le secrétaire général adjoint du RDR chargé de l’organisation, de l’administration et du patrimoine, Gilbert Kafana Koné, a pour sa part exhorté les futurs bénéficiaires à faire preuve de discipline et de responsabilité pour que cet appui soit bénéfique à l’ensemble. « C’est un fonds qui doit tourner pour permettre aux uns et aux autres d’en profiter; c’est une occasion de se prendre en charge », a-t-il dit.
Les représentants des jeunes et des femmes, respectivement Mariam Traoré et Koné Mama Matogoman, ont salué ce projet, assurant de leur dynamisme pour permettre au parti d’atteindre les résultats escomptés.
AIP
Une militante du Front populaire ivoirien (FPI), Antoinette Rouissa Meho, a été arrêtée, mercredi à Yopougon (Abidjan), pour « atteinte à la sûreté de l’Etat», a appris l’AIP vendredi auprès d’une source proche du dossier, qui dément tout lien entre cette interpellation et le procès de l’ex-Première dame, Simone Gbagbo.
« L’arrestation de dame Antoinette Rouissa Meho n’est nullement liée au procès de madame Simone Gbagbo ; par contre, elle était recherchée depuis plusieurs mois, dans le cadre d’une procédure judiciaire, pour atteinte à la sûreté de l’Etat », a précisé cette source qui a requis l’anonymat.
Me Toussaint Dako, avocat de Mme Rouissa Meho, avait déclaré dans la presse, vendredi, que sa cliente a été arrêtée, « brutalisée puis conduite manu militari dans un véhicule sans matricule, pour une destination inconnue », signalant que cette dernière s’apprêtait à témoigner au procès de Mme Simone Gbagbo, poursuivie pour « crimes contre l’humanité ».
Antoinette Rouissa Meho, est membre de l’Organisation des femmes du FPI (OFFPI), fédération du Banco à Yopougon, signale-t-on.
AIP
Le PDG du groupe Agronomix, Honoré Christophe Yapi, à annoncé, vendredi à Abidjan, que sa holding ambitionne de bâtir à Assouindé, station balnéaire du département d’Adiaké (Sud-est), des logements futuristes déclinés en sociaux, moyens et très haut standing.
Lors du lancement du projet dénommé « Complexe intégré Benene », qui selon lui, se veut un projet immobilier « innovant et original », M. Yapi a expliqué que cette initiative va être réalisée sur une superficie de 350 hectares, assorti d’un « Outlet Mall », sorte de grand centre commercial sur une vingtaine d’hectares. « Il sera géré par une entreprise qui en a l’habitude en Europe et va permettre à des marques très connues d’y avoir leur boutique.
Le promoteur a fait savoir que son projet se focalisera sur le potentiel touristique de la Côte d’Ivoire, qu’il entend mettre en relief. « Il y aura un complexe touristique de maisons innovantes, dans leur contexte naturel. Des maisons dans des arbres qui sont surtout faites pour une population fortunée qui vit en Europe (et) qui veut se retrouver dans des choses qu’on ne retrouve pas tous les jours », a-t-il expliqué.
Honoré Christophe Yapi a précisé que l’acquisition du titre de propriété définitif du terrain devant accueillir ces maisons est en cours, et que ses partenaires italiens, notamment la société « Sache Italia », sont engagés à mener à terme ce projet estimé à 135 milliards de FCFA.
« C’est un projet qui va se réaliser sur du long terme. Si on arrive à fournir 3000, 4000 par an ça sera parfait. Ça sera plus de 1000 emplois directs et encore plus en indirect. On aura des maisons d’un coût moyen de 12 millions de FCFA, de très petites maisons mais fonctionnelles pour tout le monde, et on en aura de 300 millions de FCFA », a le PDG d’Agronomix.
AIP