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Le ministre du Commerce, Jean Louis Billon, et le PDG de la Compagnie de distribution de Côte d’Ivoire (CDCI), Ezzedine Yasser, ont paraphé, vendredi, au siège du Conseil national des Exportations (CNE) à Abidjan-Cocody, une convention autorisant la CDCI à procéder à des ventes promotionnelles et des soldes sans en référer au ministère sur toute l’année.
« Les actions promotionnelles des biens et services sont devenus l’un des meilleurs procédés de baisse efficace et durable des prix pour répondre, de façon spécifique et appropriée, aux attentes des consommateurs », a déclaré la secrétaire technique du Conseil national de lutte contre la vie chère (CNLVC), Dr Bah Rannie Didice Koné.
Pour Ezzedine Yasser, « la concurrence est le meilleur contrôleur des prix », raison pour laquelle ses magasins baissent les prix de 10 à 20% dans les villes où ils sont ouverts. « Nous allons continuer d’améliorer les conditions d’achat des Ivoiriens », a-t-il promis.
La signature de cette convention prouve que la CDCI est une entreprise citoyenne. Contrairement à l’esprit des textes en vigueur encadrant les deux périodes officielles de solde, elle permet aux grandes enseignes de faire des promotions et soldes « sans frein et au bénéfice du consommateur », en permettant à la grande distribution de bénéficier d’avantages fiscaux pour sortir de l’informel tout en garantissant la qualité du produit au meilleur prix, a souligné le ministre Billon.
La CDCI dispose de 130 magasins sur l’ensemble du territoire et propose des produits de grande consommation en gros, demi-gros, détail et superettes pour un chiffre d’affaires annuel de 150 milliards de FCFA.
AIP
La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou, se dit « sereine et rassurée » sur les implications relatives aux aspects sécuritaires après le retrait de l’ONUCI en 2017, a-t-elle assuré mardi lors de la 38ème édition du forum d’informations, de dialogue, de libres échanges et de propositions organisé par la Division de la Réforme du secteur de sécurité (RSS) de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire ( ONUCI) en partenariat avec la Fondation Friedich Ebert et le Centre de Recherche et d’Action pour la Paix (CERAP) dont elle était l’invitée spéciale.
La Représentante spéciale est intervenue à cette occasion au siège de la Mission onusienne sur le thème « Le retrait de l’ONUCI de la Côte d’Ivoire et implications sur les aspects sécuritaires ».
Cette réunion à laquelle ont pris part plusieurs participants dont la ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, Pr Mariatou Koné, a permis à la Représentante spéciale de présenter les actions majeures de l’ONUCI depuis la création de la Mission conformément à la Résolution 1528 jusqu’à la Résolution 2284 qui met fin au mandat de l’ONUCI en juin 2017. « Depuis 2004, toutes les Résolutions votées par le Conseil de sécurité ont donné mandat à l’ONUCI d’appuyer les institutions ivoiriennes de sécurité y compris le soutien multidimensionnel, ce qui a toujours été un des axes fondamentaux de la Mission », a rappelé Mme Mindaoudou.
38ème édition du forum d’informations, de dialogue, de libres échanges et de propositions organisé par la Division de la Réforme du secteur de sécurité (RSS) de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire ( ONUCI) en partenariat avec la Fondation Friedich Ebert et le Centre de Recherche et d’Action pour la Paix (CERAP).
Elle a axé ses propos autour de trois domaines notamment la composante militaire, la composante de la police et la RSS. Elle a démontré la baisse considérable des effectifs de chaque composante et souligné la collaboration étroite entre l’ONUCI avec les Forces Armées de Côte d’Ivoire.
« La décision de retirer la Mission a été prise sur la base des avancées notoires enregistrées ces dernières années », a-t-elle rappelé, soulignant que des défis restent. Mme Mindaoudou a exprimé son espoir et sa sérénité sur les implications sécuritaires et sociales, au regard des avancées. Elle a assuré les partenaires, les populations et les acteurs sur le processus de retrait et la pérennisation des piliers de la relève instituée.
La Représentante spéciale du Secrétaire général des Nations Unies pour la Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou s’est rendue mercredi à Man où elle a participé à la cérémonie groupée de remise officielle des clés de plusieurs ouvrages publics réhabilités aux bénéficiaires des régions du Tonkpi, Bafing et Folon, annonce un communiqué transmis jeudi à l’AIP.
D’un montant de 76,2 millions de FCFA, ces réalisations regroupent six projets financés par les Nations Unies en Côte d’Ivoire et concernent des infrastructures à caractère social et éducatif. II s’agit notamment de la réhabilitation et l’équipement en matériels informatiques et bureautiques du Commissariat de police de Touba, la réhabilitation du foyer et l’équipement en matériels informatiques et bureautiques de l’Escadron de la Gendarmerie Mobile de Man, de la réhabilitation et l’équipement des EPP Goulia 1 et 3, à Odienné, la réhabilitation du Foyer des Jeunes de Man, la construction d’une école de trois (03) classes avec bureau et latrines à l’EPP Kampala (Man) et de la construction d’un bâtiment de trois classes avec latrines et l’équipement en tables/bancs du groupe scolaire de Trinle-Diapleu.
La réalisation de ces ouvrages répond aux objectifs de l’ONUCI qui, dans le cadre de son mandat accompagne les initiatives qui renforcent la cohésion sociale et la réconciliation nationale au niveau local. « Ces différents projets contribuent au renforcement des capacités opérationnelles des forces de l’ordre tout en améliorant leurs conditions de travail, améliore le cadre de travail des élèves et de leurs enseignants tout en résorbant le déficit en salles de classe et offre un cadre de rencontres et de brassages, facteur de cohésion sociale pour la jeunesse », a expliqué la Représentante spéciale.
Le Maire de la commune de Man, M Tia André et le Secrétaire général de la Préfecture, M Gnagbi Victor ont exprimé le sentiment de reconnaissance des populations bénéficiaires appréciant à leur juste valeur les projets qui profitent au secteur de l’éducation et aux Forces de sécurité.
Mme Mindaoudou et sa délégation ainsi que les autorités municipales et administratives, les membres du corps préfectoral, les autorités militaires et paramilitaires, les chefs religieux et de communautés, les jeunes et les femmes ont visité le foyer de l’escadron mobile de Man et le foyer des jeunes.
AIP
Le trophée « Meilleur contenu et services » de la 12ème édition de Africa Telecom People, pour lequel sept entreprises étaient en lice, a été décerné Jeudi 06 octobre à Jumia Côte d’Ivoire.
Ce prix récompense chaque année, l’entreprise qui s’est illustrée comme la meilleure en matière de développement d’applications et/ou de services innovants, basés sur les nouvelles technologies. Ce trophée cristallise la reconnaissance du Jury et de toute la communauté TIC des avancées et innovations apportées par le lauréat dans son secteur d’activité. Dans la même catégorie, aux côtés de Jumia se tenaient, PayStack, Hadwiger, NSIA Technologies, Sicapay, Taxijet et la RTI.
« Recevoir le trophée du Meilleur contenu et services nous encourage à toujours nous améliorer pour fournir à nos clients et à tous les consommateurs Ivoiriens, toujours plus de choix, au meilleur rapport qualité prix avec la plus grande simplicité possible » a déclaré Francis Dufay, Directeur Général de Jumia Côte d’Ivoire, récipiendaire du prix.
La douzième édition du salon international des TIC, Africa Telecom People 2016, s’est ouverte le Jeudi 06 octobre 2016 pour deux jours, au Sofitel Hôtel Ivoire à Abidjan autour du thème «Internet des objets : comment préparer l’Afrique au tout connecté ?».
Autres prix décernés :
• Meilleur Réseau: MTN Côte d'Ivoire
• Meilleur Régulateur et agence de gestion de projets structurants: ARTCI
Daniel Coulibaly avec Jumia-CI
Les Prix Samba Koné de la Meilleure entreprise de presse numérique et Alfred Dan Moussa du Meilleur journaliste pour la promotion de la paix dans l’espace CEDEAO ont été lancés officiellement, jeudi, au cours d’un point de presse animé par le président du réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’ivoire (REPPRELCI), David Youant.
Selon M. Youant, ces deux prix visent « à inculquer à la nouvelle génération, les qualités d’humilité, de simplicité, de probité et d’honnêteté incarnées par ces deux grandes personnalités de la presse ivoirienne ».
Alfred Dan Moussa et Samba Koné se sont félicités pour l’hommage qui leur est rendu par le REPPRELCI à travers ces différents prix qui représentent, selon M. Dan Moussa, le « pont » entre l’ancienne et la nouvelle génération.
« Il est de notre devoir de léguer en héritage ce que nous avons reçu à la nouvelle génération », a indiqué M. Samba à la Maison de la presse d’Abidjan (MPA).
Les entreprises de presse en ligne légalement constituées depuis six mois, employant un à deux journalistes et dont 60% des contenus sont consacrés à la Côte d’Ivoire pourront postuler pour le prix Samba Koné de la Meilleure entreprise de presse numérique.
Le prix Alfred Dan Moussa du Meilleur journaliste pour la promotion de la paix dans l’espace CEDEAO est ouvert à tous les journalistes faisant partie de l’espace CEDEAO dont les productions sont diffusées en ligne.
Les candidatures sont ouvertes à compter de ce jeudi 13 octobre et seront closes le mardi 13 novembre, précise-t-on.
Alfred Dan Moussa est l’actuel directeur général de l’Institut polytechnique des sciences et techniques de la communication. Il a exercé durant plusieurs années au quotidien gouvernemental, Fraternité Matin, où il a occupé entre autres le poste de directeur des rédactions. Il a été président de l’Observatoire de la liberté de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (OLPED).
Koné Samba a dirigé l’agence ivoirienne de presse durant 14 ans. Expert-consultant, il est actuellement le président du conseil de gestion de l’ISTC Polytechnique.
AIP
L’Organisation des Nations unies à travers Le Fonds central d’intervention d’urgence (CERF) vient d’octroyer un appui financier d’un montant d’environ deux millions de Dollars US pour l’ « amplification » des actions humanitaires au profit des populations déguerpies de la réserve naturelles du Mont Péko, a appris, jeudi, l’AIP du comité de coordination élargi pour la gestion du dossier.
Le gouvernement ivoirien, dans le cadre de sa politique de restauration du couvert forestier a entrepris depuis 2013 la reprise en main des forêts classées, des parcs et réserves sur toute l’étendue du territoire. Concernant le parc du Mont Péko, l’opération est rentrée dans sa phase active courant juillet 2016 (date butoir accordée par les autorités ivoiriennes pour finaliser l’opération d’évacuation), après plusieurs campagnes d’information et de sensibilisation.
Au total 25 000 personnes ont été évacuées du parc qui vivent dans des villages riverains peuplés de 21 000 âmes soit un total global de 47 151 personnes à qui le gouvernement ivoirien, aidés de ses partenaires, apportent une assistance humanitaire. Les actions sont coordonnées par les démembrements du comité de coordination élargie, présidée par la ministre de la Solidarité, de la Cohésion sociale et de l’Indemnisation des victimes, Pr Mariatou Koné.
Le comité tenait, au cabinet de la ministre de la Solidarité, sa traditionnelle réunion mensuelle, la 7ème, traitant de questions humanitaires. Les membres ont été informés de ce que l’Organisation internationale pour les migrations ( OIM) effectuera une mission d’évaluation des besoins et procédera au rapatriement des personnes volontaires dans leurs pays d’origine. Quelque 16576 ressortissants burkinabés notamment intègrent les déguerpis du Mont Péko dont 3000 ont exprimé la volonté de regagner leur patrie, signale-t-on.
Un comité mixte ivoiro-burkinabè effectuera une mission dans les prochaines semaines pour évaluer la situation post évacuation ainsi que des risques associés à court, moyen et long terme conformément aux recommandations du cinquième traité d’amitié et de coopération qui s’est tenu le 31 juillet 2016 à Yamoussoukro, a informé par ailleurs l’instance de gestion du dossier.
AIP
En prélude aux assises de la Cop 22 qui se tiendra, du 7 au 18 novembre à Marraketch au Maroc, une délégation du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) du Royaume Chérifien, conduite par Moustafa Jlok, chargé de la mobilisation de la société civile africaine de la COP 22, a effectué une séance de travail avec la société civile ivoirienne au siège de la Commission nationale des droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI) à Abidjan Cocody Deux Plateaux Vallons.
Cette rencontre organisée par la CNDHCI a permis à l’émissaire marocain d’expliquer les modalités, les conditions de participation et les opportunités qui s’offrent à la société civile à cette tribune. Au sortir les participants à cette rencontre ont salué cette démarche de Mme Namizata Sangaré, présidente de la CNDHCI et son équipe pour les avoir associés à cette rencontre dont ils ont salué l’intérêt.
AIP
Le Japon envisage d'agrandir la base militaire qu'il avait installée en 2011 à Djibouti pour tenter de contrer l’influence grandissante de la Chine en Afrique, rapporte l’agence Reuters ce 13 octobre, citant trois sources officielles japonaises.
Tokyo envisage de louer l’an prochain un terrain adjacent à sa base existante située près de l’aéroport international Ambouli et de la base américaine du Camp Lemonnier, a précisé un porte-parole du ministère nippon de la Défense en réponse à une question de Reuters. « Le Japon est en négociations avec le gouvernement de Djibouti », a-t-il déclaré.
A partir de sa base existante qui s’étale sur 12 hectares et compte 180 hommes, le Japon participe aux patrouilles maritimes de la force internationale déployée pour chasser les pirates actifs dans le Golfe d'Aden et au large de la Somalie. Djibouti est situé dans la corne de l’Afrique à la rencontre du golfe d’Aden et de la mer Rouge, entre l’Érythrée et la Somalie. Ce petit pays de moins d’un million d’habitants est aussi très proche du détroit de Bab Al Mandab, une voie par laquelle transite 40 % du trafic maritime mondial.
Une autre source gouvernementale citée par Reuters a fait savoir que Tokyo prévoit de déployer des avions de transport C-130 sur sa base à Djibouti, ainsi que des véhicules blindés et plus de personnel en vue de disposer dans la Corne de l'Afrique d'avions à même d'évacuer des ressortissants japonais des zones de troubles ou en cas de catastrophe naturelle.
Cette extension de la base militaire nippone à Djibouti intervient dans un contexte de rivalité accrue avec la Chine. « La Chine investit dans de nouvelles infrastructures à Djibouti et y accroît sa présence, il faut donc que le Japon y acquière plus d'influence », explique-t-on de source officielle japonaise.
Le ministère chinois de la Défense avait annoncé en février dernier le début des travaux de construction d’une base militaire navale à Djibouti, la première du genre en Afrique. Selon Pékin, cette base servira à « effectuer des missions navales anti-piraterie au large de la Somalie, à fournir une assistance humanitaire et à faciliter la participation des troupes chinoises aux missions de maintien de la paix de l’ONU en Afrique ».
Mais selon les observateurs, cette première base navale de l'armée populaire de libération chinoise en Afrique, un continent devenu en 2009 le premier partenaire commercial de la Chine et où Pékin investit massivement depuis plusieurs années, servira également à sécuriser les importants intérêts commerciaux de la deuxième puissance économique mondiale dans la région et à positionner le géant asiatique en tant que grande puissance mondiale, au même titre que les Etats-Unis ou la France et le Japon qui disposent déjà de bases militaires à Djibouti.
Le Japon tente plus que jamais de ne pas se laisser distancer par la Chine en Afrique. Tokyo s'est engagé en août dernier à consacrer 30 milliards de dollars à des projets dans les secteurs public et privé, dans l'infrastructure, l'éducation ou la santé. Cet engagement intervient quelques mois seulement après la promesse faite par la Chine de consacrer 60 milliards de dollars à divers projets de développement sur le continent africain.
Source : www.agenceecofin.com
Les services du FMI et les autorités ivoiriennes sont parvenus à un accord préalable, en vue d’un programme économique triennal. Ce dernier pourrait être appuyé par deux accords, au titre de la Facilité élargie de crédit (FEC) et au titre du Mécanisme élargi de crédit (MEDC), le tout pour un montant de 487,8 millions de Droits de Tirage Spéciaux (environ 674,3 millions de dollars).
Cette somme équivaut à 75% de la quote-part de la Côte d'Ivoire au sein de l'institution. En cas de validation par le conseil d'administration du FMI, les ressources mobilisées permettront à la première économie de l'UEMOA, de soutenir les principaux objectifs de son Plan National de Développement (PND) pour la période 2016-2020, tout « en remédiant aux obstacles pesant sur l’équilibre durable de sa balance des paiements ».
Le gouvernement ivoirien n'a toujours pas admis officiellement le déficit de sa balance commerciale révélé il y a quelques semaines par l’Agence Ecofin. Ce nouvel accord est la preuve que la situation préoccupe le gouvernement ivoirien. « Le déficit budgétaire de l’Etat devrait converger vers la norme communautaire de l’UEMOA de 3% du PIB d’ici à 2019 afin de préserver la viabilité de la dette publique et la couverture des réserves de change de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest », a conseillé le Fonds.
La Côte d’Ivoire tire le gros de ses revenus en devises de l'exportation du cacao, une matière première dont il est le premier producteur mondial. Mais une longue saison sèche et des vents chauds du Sahara devraient négativement impacter la production de la campagne en cours. Par ailleurs l'engagement du gouvernement sur des projets d'infrastructures fait peser un nouveau risque de solde négatif sur la balance des services, et par conséquent sur ses exportations nettes.
En cas de validation de l'accord, les autorités ivoiriennes se sont engagées à mettre en œuvre l’extension de la surveillance des entités publiques, au-delà du gouvernement central, la maîtrise des risques budgétaires provenant des entreprises publiques en difficultés financières, l’amélioration de la gestion de la dette, la restructuration des banques publiques et l’amélioration du climat des affaires. Des initiatives qui pourront bénéficier d'une assistance technique du FMI.
Source www.agenceecofin.com
La Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) et le Groupe de la Banque Mondiale ont organisé ensemble deux ateliers au Ghana de lundi à jeudi, dans le cadre du Projet d’amélioration et de facilitation des échanges commerciaux en Afrique de l’Ouest, financé par l’Union Européenne.
Selon un communiqué de presse de la CEDEAO transmis jeudi à l’AIP, ce projet vise à améliorer les échanges au niveau régional et international, en remédiant aux difficultés de transit au niveau des corridors clés en Afrique de l’Ouest.
Plus de 100 participants, y compris les partenaires des secteurs public et privé affiliés au Port de Tema, et les représentants de la Commission de la CEDEAO, de l’Union Européenne, du Groupe de la Banque Mondiale, étaient présents aux deux ateliers.
Le Projet d’amélioration et de facilitation des échanges commerciaux en Afrique de l’Ouest est une initiative sur quatre ans lancée en novembre 2014. D’une valeur de 3,5 millions d’euros, il vise à soutenir la CEDEAO en vue de l’amélioration des échanges commerciaux et, plus précisément, du commerce de transit le long des principaux corridors commerciaux de la région.
Il porte principalement sur la réduction du temps et des coûts, et l’accroissement de la coopération et de la coordination entre les agences aux frontières, pour faciliter les flux de marchandises au sein de la région, et avec les partenaires commerciaux internationaux.
AIP