Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Visiblement remise du choc de sa défaite aux élections législatives du 18 décembre 2016 dans la circonscription de Cocody. Maitre Affoussiata Bamba-Lamine, ministre de la Communication de Côte d’Ivoire, a fait sa première apparition publique après cet échec, le jeudi 22 décembre 2016, à l’occasion de l’arbre de Noël organisé au profit des enfants des hommes de médias par l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI). Et c’était à la Maison de la presse d’Abidjan dans la commune du Plateau.

 

Se prononçant sur sa défaite électorale la ministre de la Communication s’est dite toujours débout pour poursuivre le combat. « Nous avons perdu une bataille, mais nous n’avons pas perdu le combat », a-t-elle dit, affirmant qu’elle restera engagée jusqu’au bout. Répondant aux rumeurs qui annonçaient qu’elle ne viendrait pas à cette cérémonie, parce que n’ayant pas le moral, elle a affirmé : « Ceux qui pensent cela ne savent pas que c’est dans l’adversité que je démontre le mieux ce qui me caractérise ».

 

Exit les législatives, la ministre Affoussiata Bamba-Lamine devra dans les jours à venir se concentrer sur les grands dossiers qui l’attendent cette année, notamment le projet de loi sur la presse, l’application de la convention collective des professionnels de la presse.  

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Le gouvernement a adopté en conseil des ministres, mercredi, un projet de loi instituant un organe « unique » chargé de la régulation, du contrôle et du suivi des filières hévéa et palmier à huile.

La mise en place de cet organe vient, selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné,  répondre à un impératif d’amélioration  de  la gouvernance, de la productivité et de la compétitivité de ces deux filières. Il s’agit principalement de « permettre à tous les acteurs de ce secteur et particulièrement aux producteurs de tirer un meilleur profit de leurs activités », a-t-il souligné.

La Côte d’Ivoire entend, à travers l’initiative, « défendre et consolider » son classement tant au plan africain que mondial pour ce qui concerne la production de ces matières premières, a relevé également le porte-parole du gouvernement. La Côte d’ivoire est 2ème producteurs africain et 9ème producteur mondial d’huile de palme et 1er africain et 7ème mondial au niveau du caoutchouc naturel.

Le nouveau dispositif créé  « prend en compte la similarité des problèmes et la complémentarité agronomique de ces deux filières  pour régir dans un cadre légal unique les questions liées aux exploitations villageoises, à la commercialisation à la transformation et à la valorisation des produits de l’hévéa et du palmier à huile », a précisé le ministre Nabagné Koné.

AIP

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Le gouvernement a adopté en conseil des ministres, mercredi, un projet de loi instituant un organe « unique » chargé de la régulation, du contrôle et du suivi des filières hévéa et palmier à huile.

La mise en place de cet organe vient, selon le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné,  répondre à un impératif d’amélioration  de  la gouvernance, de la productivité et de la compétitivité de ces deux filières. Il s’agit principalement de « permettre à tous les acteurs de ce secteur et particulièrement aux producteurs de tirer un meilleur profit de leurs activités », a-t-il souligné.

La Côte d’Ivoire entend, à travers l’initiative, « défendre et consolider » son classement tant au plan africain que mondial pour ce qui concerne la production de ces matières premières, a relevé également le porte-parole du gouvernement. La Côte d’ivoire est 2ème producteurs africain et 9ème producteur mondial d’huile de palme et 1er africain et 7ème mondial au niveau du caoutchouc naturel.

Le nouveau dispositif créé  « prend en compte la similarité des problèmes et la complémentarité agronomique de ces deux filières  pour régir dans un cadre légal unique les questions liées aux exploitations villageoises, à la commercialisation à la transformation et à la valorisation des produits de l’hévéa et du palmier à huile », a précisé le ministre Nabagné Koné.

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-La représentante spéciale de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou a remis mercredi, au préfet par intérim de Vavoua, Déhoulé N’Guessan, les clés d’ouvrages publics réhabilités à hauteur de 80 millions de francs CFA par son organisation dans la sous-préfecture de Dania.

Il s’agit d’écoles primaires, du centre de santé et la maternité de Dania et 31 pompes hydrauliques dont la rénovation se situe dans le cadre du programme d’appui de l’ONUCI à la cohésion sociale et à la réhabilitation communautaire à travers sa section Affaire civiles.

Aïchatou Mindaoudou a exhorté les populations de Dania à vivre ensemble et à oublier les affres des différentes crises en Côte d’Ivoire pour consolider la paix, rappelant que le départ en 2017 de l’ONUCI est la preuve que le pays est redevenu normal.

Le député de Dania, Védéa Elisabeth a remercié l’ONUCI pour ses actions « de grande portée » et reconnu que c’est grâce à son dynamisme qu’une partie « des nombreuses victimes de la crise de 2002 ont été indemnisées » .

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Le gouvernement ivoirien a adopté, mercredi, en conseil des ministres un décret portant création, organisation, attribution et fonctionnement d’un organe de coordination des initiatives de développement énergétique dénommé  Fonds national de maîtrise de l’énergie  (FONAME).

« Ce fonds est destiné à encadrer et harmoniser les offres de financement, les offres pour l’accès à l’électricité, aux  énergies renouvelables», a expliqué son porte-parole, Bruno Nabagné Koné, informant de la décision.

Selon lui, la création de ce fonds fait partie des reformes engagées par le gouvernement pour favoriser l’indépendance énergétique en Côte d’Ivoire et assurer la sécurité de l’approvisionnement en énergie électrique.

La Côte d’Ivoire s’est engagée depuis 2011 dans un vaste programme d’augmentation  de sa capacité de production énérgétique dans l’ambition de parvenir, d’ici 2020, à 4000 MW de puissance installée et à 6000 MW à l’horizon 2030. Dans cette perspective, des projets structurants sont en cours de développement comme le barrage hydroélectrique de Soubré d’une puissance de 275MW et une production annuelle de 1100 GWh.

La puissance totale installée dans le pays est passée de 1391 MW en 2011 à 1975 MW à ce jour, soit une capacité additionnelle de 584 MW.

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La Fondation African women initiatives (AWI) a initié, mercredi à Abidjan, un atelier d’échanges avec des actrices des chaînes de valeurs de l’agro-alimentaire autour de la problématique de l’autonomisation et de l’épanouissement de la femme agricole.

Selon la présidente fondatrice de l’AWI, Fofana Fadiga, cette initiative qui s’inscrit dans la promotion du genre démarre avec l’autonomie et l’épanouissement de la femme agricole parce que l’agriculture constitue l’un des poumons de l’économie ivoirienne.

« Notre vision est de créer un réseau de femmes africaines entrepreneurs maîtrisant leurs domaines d’activités, en vue de participer activement au développement économique et social de leurs communautés », a-t-elle exprimé au siège du Comité de concertation Etat/secteur privé au Plateau.

Une dizaine de femmes issues de coopératives agricoles ont été instruites sur la vision, la mission, les domaines d’activités et les objectifs stratégiques de la Fondation. Leurs besoins et préoccupations ont été recueillis en vue de la création  d’un cadre de collaboration avec  les acteurs de l’agro-business.

L’AWI, créée en février 2016, a pour mission d’accompagner les femmes, en vue de leur donner l’opportunité d’être autonomes et de contribuer au développement de leurs familles.

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Le Premier ministre, Daniel Kablan Duncan, procèdera, vendredi, au lancement de la production des cartes des assurés de la couverture maladie universelle, avec l’inauguration officielle du Centre de personnalisation de ces Cartes, a appris l’AIP de la Caisse nationale d’assurance maladie (CNAM).

L’inauguration de ce centre « consacre le démarrage officiel de la production des cartes des assurés de la CMU et confirme le démarrage de la phase expérimentale », en 2017, de ce système d’assurance, selon une note d’information de la CNAM. Cette phase pilote débutera avec les étudiants et s’ouvrira progressivement à d’autres groupes de populations. La démarche vise notamment à éprouver le fonctionnement opérationnel (système d’information et de gestion) de la CMU, et d’identifier les obstacles, les procédures et les processus à améliorer avant la phase de généralisation.

Les étudiants enrôlés à la CMU recevront dans le courant du premier trimestre 2017 leurs cartes d’assurés, leur offrant ainsi l’accès à un système de santé universitaire remis aux normes grâce à d’importants travaux de réhabilitation entrepris par l’Etat de Côte d’Ivoire depuis novembre 2016 pour un coût de plus d’1,8 milliard F CFA.  Ces travaux concernent neuf centres médicaux universitaires situés à Abidjan, Yamoussoukro, Daloa, Bouaké et Korhogo.

La construction d’un centre de personnalisation des cartes des assurés de la CMU figure au nombre des obligations issues du Contrat de Partenariat public privé passé entre l’Etat de Côte d’Ivoire et l’entreprise Snedai Groupe, signale-t-on. Bâti sur une superficie de 400 m², ce centre d’une capacité opérationnelle de vingt-six milles (26.000) cartes par jour dispose d’équipements technologiques de pointe et d’outils de dernière génération garantissant ainsi la fiabilité et la qualité des supports produits.

La CMU est le système d’assurance mis en œuvre par le gouvernement afin d’offrir une couverture sociale à la majorité des Ivoiriens, dont seulement 5% officiellement bénéficient à ce jour d’une couverture maladie. Entrée dans sa phase d’opérationnalisation le 30 décembre 2014 avec l’enrôlement du Président de la République, Alassane Ouattara, le système est piloté par la CNAM, structure en charge d’en assurer le déploiement.

La mission de la CNAM est notamment d’enregistrer les populations tout en les informant des avantages qu’offre ce nouveau système de sécurité sociale à laquelle le gouvernement fait « obligation » à toutes les personnes vivant en Côte d’Ivoire qu’elles soient ivoiriennes ou étrangères de souscrire.

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Le gouvernement a autorisé, mercredi, la tenue, en janvier 2017,  d’« une session complémentaire à titre exceptionnel » du concours direct d’entrée à l’Institut national de formation des agents de santé (Infas).

« Les résultats du concours direct d’accès au titre de l’année académique 2017- 2020 avaient enregistré 837 candidats admis sur 1500 postes budgétaires prévus. Il y a donc un différentiel de 638 postes à combler », a expliqué Bruno Koné.

Poursuivant, il a fait savoir que « pour la bonne mise en œuvre de la programmation souhaitée, le conseil a autorisé l’organisation d’une session complémentaire à titre exceptionnel ».

 

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Des acteurs nationaux et internationaux de la protection des enfants en mobilité ont décidé de la mise en place et de la gestion d’un réseau professionnel, à l’issue d’une rencontre de coordination de leurs activités tenue à Korhogo.

La rencontre qui a vu la participation des représentants des consulats du Mali et du Burkina Faso en Côte d’Ivoire, ainsi que de celle des autorités préfectorales de Korhogo, Ouangolodougou et Tengrela s’est achevée mercredi.

Les participants à la rencontre ont proposé par ailleurs de mener des actions de sensibilisation à l’attention des maîtres-Talibés qui organisent la mendicité des enfants et d’ajouter aux thèmes de sensibilisation les facteurs de risque et de vulnérabilité des enfants.

Ils ont aussi souhaité que la réglementation sur le transport de groupes enfants soit plus « explicite » et que des moyens soient mis à la disposition des consulats du Mali et du Burkina pour la gestion des cas d’urgence.

La rencontre a été initiée par l’Ong Save the children pour permettre aux acteurs de son programme de protection des enfants en mobilité de coordonner leurs activités en définissant une vision et une approche communes.

L’objectif étant la pérennisation des activités du programme, mieux connu sous le nom projet COM, pour « Children On the Move », indique-t-on.

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Cinq mille (5000) instructeurs adjoints seront recrutés au titre de la session 2017 du concours d’entrée dans les Centres  d’animation et de formation pédagogique (CAFOP), a annoncé mercredi, le porte-parole du gouvernement, Bruno Nabagné Koné.

Le porte-parole du gouvernement a livré l’information au terme d’un conseil des ministres qui a décidé notamment de la réouverture du concours d’entrée dans les CAFOP aux titulaires du Brevet d’études du premier cycle (BEPC). La décision, selon lui,  s’inscrit dans le cadre de la politique de scolarisation obligatoire des enfants de six à 16 ans initiée par le gouvernement depuis la rentrée scolaire 2015-2016.

« Cette mesure permettra d’élargir la base de la pyramide des formateurs à recruter pour combler le déficit d’enseignants dans l’enseignement préscolaire et primaire », a-t-il justifié.

La durée de la formation de ces instituteurs adjoints est désormais de trois ans, une année au CAFOP et deux années de stage sur le terrain, a informé en outre, le ministre Nabagné Koné.

Pour la session 2017,  le concours sera organisé dans six capitales régionales, à savoir Abidjan, Abengourou, Gagnoa, Korhogo, Man et Yamoussoukro, afin de rapprocher les postulants des centres de composition et réduire les charges qu’ils devront supporter.

Le conseil des ministres a, par ailleurs, donné son accord pour l’organisation, en janvier 2017, d’« une session complémentaire à titre exceptionnel » du concours direct d’entrée à l’Institut national de formation des agents de santé (Infas).

« Les résultats du concours direct d’accès au titre de l’année académique 2017- 2020 avaient enregistré 837 candidats admis sur 1500 postes budgétaires prévus. Il y a donc un différentiel de 638 postes à combler. Aussi pour la bonne mise en œuvre de la programmation souhaitée, le conseil a autorisé l’organisation d’une session complémentaire à titre exceptionnel », a expliqué le porte-parole du gouvernement.

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