ShieldAfrica, le salon de la sécurité et de la défense ouvrira ses portes à l’Ecole Nationale de Police d’Abidjan, du 24 au 26 janvier 2017, sous le haut patronage du Ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur et la Sécurité, Hamed Bakayoko.
Ce salon proposera aux délégations de nombreux pays d’Afrique des solutions technologiques pour développer ou améliorer la sécurité sur le continent Africain.
Il est prévu, le 23 janvier 2017, à l’hôtel Ivoire d’Abidjan la conférence ShieldAfrica sur le thème : « Afrique, protégeons notre développement : vers une approche intégrée ». Cette conférence regroupera les délégations officielles africaines invitées par la Côte d’Ivoire, les industriels exposants et de nombreuses personnalités internationales.
L’Afrique connait des évolutions majeures qui vont s’accentuer ces prochaines années. Une urbanisation de plus en plus importante, passée de 42 % en 2000 à près de 48 % en 2015 et estimée à 61,7 % en 2052. Une forte croissance démographique : on comptabilise aujourd’hui 1,2 milliard d’habitants en Afrique, ils devraient être 2,8 milliards en 2063.
Et enfin le développement d’une classe moyenne qui possède un pouvoir d’achat non négligeable générant de nouvelles habitudes de consommation. Ces évolutions doivent s’accompagner d’un développement concomitant de la sécurité en général permettant de pérenniser le développement du continent.
ShieldAfrica s’inscrit donc comme un des catalyseurs de la croissance économique du continent qui ne peut se faire qu’avec la paix, la sécurité des personnes, des biens et des infrastructures, le développement de la cybersécurité.
Il proposera donc un grand nombre de produits et de technologies en matière de la défense et la sécurité, adaptés aux besoins de tous les acteurs africains.
Ce salon répond ainsi aux attentes des forces de Sécurité et de Défense, des organismes d’Etat chargés de la sécurité intérieure et de la protection des populations, des organisations internationales, des entreprises civiles impliquées dans la surveillance et la sécurité mais aussi des sociétés privées exerçant dans des zones à risques ou conduisant des activités pouvant présenter un danger.
Parce que l’urbanisation nécessite un appui au niveau local, ShieldAfrica répond également aux préoccupations des collectivités, administrations et mairies des grandes métropoles. L’ensemble du secteur public et privé, impliqué dans la sécurité des Etats sera présent aux côtés de nombreuses délégations officielles.