Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Les embouteillages font perdre à la Côte d’Ivoire près de 12 milliards de francs CFA à travers la fuite du carburant et les accidents qui sont des conséquences du manque de fluidité, a révélé vendredi le directeur de Info-trafic, Jean Luc Kouakou, au 9è numéro du « Club Mobilité ».

Pour pallier ce fait, l’expert propose aux automobilistes la connexion de leurs engins à un système de sécurité qui, en temps réel, les informe non seulement sur les tronçons de routes embouteillés à éviter, mais également permet une traçabilité des véhicules en cas de vol, au vu de l’insécurité de plus en plus grandissante dans le pays.

Selon M. Kouakou, environ 600.000 véhicules sont actuellement connectés en Côte d’Ivoire.

Le 9è numéro du « Club Mobilité » avait pour thème « Le véhicule connecté en Côte d’Ivoire : quelle réalité ? Quelle utilité ? », rappelle-t-on.

AIP

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La manière de concevoir une technologie qui pourrait mieux aider les inventeurs africains, pour les compagnies de mettre en place une culture des données qui garantirait le succès et les innovations africaines d’être mondialement pertinentes, sont au centre de la conférence NexTech Africa, nouvel événement phare du secteur de la technologie en Afrique prévu les 2 et 3 février à Nairobi, au Kenya.

Ce rendez-vous des leaders de la technologie et du monde des affaires, des ingénieurs de Microsoft, des développeurs locaux et des entrepreneurs devrait leur permettre de discuter des opportunités de collaboration pour l’émergence d’une technologie adaptée au contexte local, indique un communiqué de Microsoft transmis vendredi à l’AIP.

Interviendront à cette conférence, Joseph Mucheru, secrétaire de cabinet au ministère Kenyan des TIC, Ranjith Cherickel, PDG de icolo.co, Regina Honu, PDG de Soronko Solutions et Andreas Fruhen, PDG de M-KOPA Solar. Des représentants Microsoft interviendront également à ce forum.

Le thème de l’édition 2017 de la conférence NexTechAfrica est « Construire pour l’Afrique » avec l’objectif de résoudre les problèmes auxquels les entreprises sont confrontées et les défis du marché. Des causeries, des sessions de travail et des forums de discussions sur le cloud, le Big Data, l’Internet des objets, la conversion numérique et la technologie dans les marchés émergents sont au programme de ces deux journées.

AIP

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Le deuxième Sommet germano-africain des affaires (German-African Business Summit - GABS) se tiendra du 8 au 10 février 2017 à Nairobi, au Kenya, apprend La Diplomatique d'Abidjan (LDA, www.ladiplomatiquedabidjan.net) auprès de l'ambassade d'Allemagne en Côte d'Ivoire. Ce sommet qui vise à développer les relations économiques entre l’Allemagne et l’Afrique subsaharienne est l’occasion pour les acteurs économiques et politiques d’Allemagne et d’Afrique subsaharienne de discuter de sujets d’actualité économiques et de nouer ou de renouer des contacts. Le premier Sommet germano-africain des affaires avait réuni quelque 400 participants à Berlin en septembre 2015 et avait été ouvert par le ministre fédéral des Affaires étrangères, FrankWalter Steinmeier.

En février 2017, ce sera la première fois que le sommet se réunit en Afrique. Il est organisé par l’Initiative de l’économie allemande pour l’Afrique subsaharienne (SAFRI), financée par l’Association économique germano-africaine, la Fédération des industries allemandes (BDI), la Fédération allemande du commerce en gros, extérieur et des services (BGA) et l’Association des chambres de commerce et d’industrie allemandes (DIHK). Le gouvernement fédéral (ministère fédéral des Affaires étrangères, ministère fédéral de l’Économie et de l’Énergie, ministère fédéral de la Coopération économique et du Développement, et ministère fédéral des Finances) y apporte son soutien. Le Sommet germano-africain des affaires s’adresse aussi bien aux grands groupes industriels qu’aux PME. D’après les informations actuelles, les associations tablent sur 200 à 300 participants.

Au programme figurent des interventions de ministres et de directeurs/PDG d’Allemagne et d’Afrique subsaharienne ainsi que des débats avec d’éminentes personnalités sur des sujets tels que la croissance économique, l’intégration économique régionale, le financement et l’innovation/le numérique ainsi que des réussites. Il y aura par ailleurs de nombreuses possibilités de travailler en réseau interentreprises.

L’Afrique, un marché d’avenir avec des défis

L’Afrique subsaharienne est en pleine transformation économique. La hausse du pouvoir d’achat d’une population jeune, de vastes projets d’investissement et de grandes avancées technologiques sont propices à l’entrepreneuriat.

Certains marchés sont en crise mais d’autres affichent des taux de croissance qui sont parmi les plus forts au monde. Les futurs moteurs de croissance du continent sont l’urbanisation, l’intégration régionale et un secteur privé en pleine expansion. En revanche, un cadre défavorable selon les endroits fait obstacle au développement des activités économiques, par exemple concernant la stabilité politique, la sécurité de planification et la protection de la propriété privée. Compte tenu de tous ces facteurs, une connaissance précise des différents marchés est indispensable.

En dépit de certains risques, l’Afrique offre aux entreprises allemandes des perspectives et des possibilités de participation nouvelles. Inversement, l’engagement des entreprises allemandes est intéressant pour les partenaires africains, notamment en raison de l’utilisation de technologies ultramodernes ou de la formation du personnel.

Créer des emplois, générer une valeur ajoutée propre sur place et former du personnel local constituent des facteurs importants pour la réussite d’une stratégie de marché. Les entreprises allemandes bénéficient de multiples soutiens d’organismes publics et privés pour les aider à opérer sur le continent africain. Les partenaires économiques africains en tirent eux aussi profit.

En 2015, le commerce extérieur allemand avec l’Afrique subsaharienne s’élevait à 25,55 milliards d’euros, c’estàdire légèrement en hausse de 1,3 % par rapport à 2014 (25,21 milliards d’euros). La part de l’Afrique subsaharienne ne représente cependant que 1,19 % du volume total des échanges commerciaux allemands, ce qui veut dire qu’elle peut encore se développer. Les matières premières arrivent au premier rang des importations allemandes en provenance d’Afrique subsaharienne. L’Allemagne exporte vers l’Afrique - comme vers le reste du monde - des véhicules et des pièces automobiles, des machines et des produits électriques.

Les investissements des entreprises allemandes en Afrique jouent jusqu’ici un rôle secondaire. Pour 2014, la Bundesbank chiffre les stocks d’investissement direct allemands au sud du Sahara à un peu plus de 7 milliards d’euros. Dans le rapport « Doing Business » de la Banque mondiale, la moyenne pour les économies au sud du Sahara se situe pour 2017 au 146e rang sur les 190 pays examinés (avec des écarts certes très marqués). D’un autre côté, 77 % des pays ont lancé au moins une réforme depuis la dernière évaluation.

Le secteur des matières premières représentait un aspect essentiel de l’attractivité de l’Afrique subsaharienne pour les capitaux internationaux jusque ces dernières années. Mais le scénario présenté dans le « Global Investment Trends Monitor » de la CNUCED pour 2016 indique que les flux de capitaux se réorientent progressivement vers les secteurs proches de la consommation, à commencer par les denrées alimentaires et les boissons, puis les services financiers et la fourniture d’infrastructures de base (électricité, eau, transports). Cette évolution constitue un indicateur d’une diversité croissante des secteurs et des régions comme champs ou sites d’investissement possibles. Pour s’affirmer dans la compétition internationale, de nombreux pays d’Afrique ont par ailleurs commencé à affiner leurs conditions générales et à développer leurs instruments de soutien à l’investissement.

Le deuxième Sommet germano-africain des affaires se propose de donner un aperçu de ces évolutions sur les marchés d’Afrique subsaharienne et de fournir des informations utiles pour la prospection sur les opportunités et les risques ainsi que sur les particularités de ces marchés.

Informations pratiques

Les frais de participation varient entre 600 et 900 euros par participant. Les frais de voyage ne sont pas pris en charge par les associations (sauf pour les startup africaines). La conférence a lieu à l’hôtel Intercontinental de Nairobi, en anglais et en français.

Les inscriptions se font sur le site internet de l’Initiative de l’économie allemande pour l’Afrique subsaharienne (http://www.safri.de/gabs/).

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Des messages de sensibilisation, des slogans et des supports de communication ont été identifiés à l’issue d’un atelier de réflexion qui s’est tenu du 10 au 13 janvier au complexe hôtelier Leboutou de Dabou, pour soutenir  la campagne d’éradication des maladies tropicales négligées (MTN).

Selon Dr Djè Amoin Marie Laurence, médecin et chargée de communication du Programme national de lutte contre la schistosomiase, les géo-helminthiases et la filariose lymphatique (PNLSGF), structure coorganisatrice de l’atelier avec le Programme national  de la santé oculaire et de la lutte contre l’onchocercose (PNSO-LO), il a été conçu plusieurs slogans du genre « La bilharziose est une maladie grave évitons-la », « Trop c’est trop, stop à l’onchocercose » ou encore « Ma vue, ma vie stop à l’onchocercose ».

Ils ont aussi identifié des Media et supports de communication (affiches, boites à images et dépliants) pour la campagne de lutte contre ces MTN. « Des recommandations ont été faites et des affiches montrant des personnes atteintes des MTN, accompagnées de messages de sensibilisation, des textes pour la confection de spots  seront diffusés  sur la télé nationale et les radios de proximité. Des boites à images et des dépliants méthodiques seront conçus pour les animateurs communautaires », a-t-elle indiqué.

Chargé d’étude à la direction générale de la Santé, Dr Ekong Serge s’est félicité de la qualité des travaux et s’est engagé à les soumettre à la hiérarchie pour adoption afin « d’engager la lutte pour l’éradication définitive de ces maladies tropicales négligées ».

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Reconduit au ministère chargé des VIIIème Jeux de la Francophonie, le gouverneur Robert Beugré Mambé a reçu mercredi les vœux de Nouvel an du personnel d’encadrement du District autonome d’Abidjan et du Comité national des Jeux de la Francophonie (CNJF), à la salle Félix Houphouët-Boigny de l’Hôtel de  ville d’Abidjan-Plateau, selon un communiqué transmis samedi à l’AIP.

Robert Beugré Mambé a formulé des vœux de bonne santé, de paix et de prospérité et réitéré sa confiance en ses collaborateurs. « Si nous sommes réunis aujourd’hui  ici, ce n’est pas fortuit. Dieu, lui, le savait car le hasard est la géométrie secrète de Dieu. Le travail que nous abattons est un travail d’équipe, raison pour laquelle je tiens à vous saluer et vous féliciter », a-t-il dit.

Le gouverneur – ministre a exhorté ses collaborateurs à cultiver l’humilité qui permet d’entendre la voix de Dieu, la modestie qui permet de comprendre la souffrance des autres, la discrétion qui permet de voir ses insuffisances et de s’améliorer, la perspicacité, l’arme du chevalier qui permet de voir les détails, le respect des plus humbles, le silence car trop de bavardage nuit à l’action et enfin la plénitude qui constitue la somme de toutes ces vertus.

Au nom du personnel, Arsène Akeko Roland, a exprimé au gouverneur Mambé leur admiration. «Nous réaffirmons la disponibilité et la détermination de tous ceux qui travaillent sous votre autorité, quel que soit le niveau de l’échelon administratif où ils se trouvent, à engager, sans retenue, toutes leurs compétence et énergie, pour l’atteinte des objectifs et des grandes orientations qu’il vous plaira de leur fixer en ce début d’année », a-t-il rassuré.

En ce qui concerne le CNJF, Oka N’Guessan  a indiqué que le Président de la République Alassane Ouattara a fait le bon choix à la place qu’il faut. « Vous avez su insuffler une bouffée d’oxygène à l’organisation des VIIIèmes Jeux de la Francophonie », a-t-il indiqué. « Bien que la tâche soit immense et les défis multiformes et complexes, monsieur le Ministre, soyez rassuré de notre volonté et de notre détermination  à vous accompagner dans cette exaltante mission. Nous avons foi, qu’avec l’aide de Dieu, nous y arriverons », a-t-il ajouté.

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 La radio nationale islamique Al-Bayane annonce dans un communiqué nécrologique, le décès du Cheick Youssouf Diarra survenu dans la nuit de vendredi à samedi, à Abidjan.

Le Cheick Youssouf Diarra était membre de la commission Fatwa de l’ Association des Musulmans Sunnites de Côte d’Ivoire (AMSCI), Directeur de l’Association humanitaire koweitienne Iyaho Tourass, fondateur de l’institut islamique Ibn Taimmiyat d’Abobo.

« La prière mortuaire aura lieu ce samedi 14 janvier à 16h, à la mosquée al Moubarak suivie de l’inhumation au cimetière d’Abobo-Baoulé », conclut le communiqué émanent des guides de la communauté musulmane de Côte d’Ivoire.

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La grève des fonctionnaires a été reconduite pour cinq jours à partir de lundi par l’Intersyndicale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire (IFCI), vendredi, lors d’une assemblée générale, au lycée professionnel et commercial de Yopougon.

L’assemblée générale a aussi rejeté la proposition du ministre Pascal Abinan relativement au forum social qu’il souhaite engagé avec le syndicat et décidé que cet arrêt de travail sera renouvelable autant de fois. Par ailleurs, l’IFCI envisage des marches éclatées dans toutes les villes du pays et un sit-in à Abidjan.

«  Chers collègues, vaillants militants, restez mobilisés et ne cédez surtout pas à l’intimidation », a exhorté le porte-parole de l’intersyndicale, Tapé Djédjé Appollinaire.

L’IFCI réclame le retrait de l’ordonnance portant réforme de la retraite, le paiement du stock des arriérés, la revalorisation salariale indemnitaire et des accessoires de salaires dont le paiement des 150 points d’indice, le respect de la liberté syndicale et le retrait de l’impôt sur les traitements et salaires (ITS) et la contribution nationale (CN).

La grève des fonctionnaires a débuté lundi sur toute l’étendue du territoire, rappelle-t-on.

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L’Université Mohammed VI Polytechnique entend former une génération de chercheurs, d’entrepreneurs et de leaders d’origines marocaine et africaine, tournée vers l’innovation et entrepreneuriat.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Maroc a procédé, jeudi,  à l’inauguration de cette institution située dans la commune de Benguérir au Maroc. Une institution qui entend être une tête de ponte  entre le Maroc, l’Afrique et le Monde par la recherche appliquée, l’innovation et entrepreneuriat. Et ce, à travers, un modèle d’enseignement et de recherche entièrement tourné vers l’innovation et l’expérimentation. Des valeurs essentielles pour la croissance et la diversification économiques en Afrique.

Fondée pour la recherche appliquée, l’Université Mohammed VI Polytechnique aspire à faire du Maroc une plateforme de recherche et d’innovation de classe mondiale au service du développement durable de l’Afrique. Elle veut offrir, notamment, un environnement idéal pour les formations de pointe et l’excellence académique dans un écosystème de pôles d’excellence créateurs de synergies.

Cet établissement abrite un ensemble de structures et de dépendances, notamment une école de management industriel, un centre de recherche et un centre de congrès ainsi que des résidences universitaires et un complexe sportif avec de véritables laboratoires grandeur nature, des « Living Labs », grâce auxquels les chercheurs peuvent expérimenter leurs travaux de recherche. Il dispose, également, de sites d’expérimentation ouverts à la communauté scientifique et permettant aux étudiants chercheurs des universités partenaires de tester des solutions à l’échelle réelle dans des domaines clés.

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Décédeé le 07 décembre dans une clinique abidjanaise des suites d’un accident cardio-vasculaire (AVC), l’artiste comédienne Marie Louise Asseu, 50 ans, sera conduite à sa dernière demeure ce samedidans sa ville natale d’Afféry (Akoupé – Adzopé).

La levée de corps s’est déroulée vendredi matin à Ivoire Sépulture (Ivosep) à Treichville et le cortège a pris la route pour sa ville natale où une veillée religieuse devait avoir lieu, suivie d’une autre artistique.

Marie-Louise Asseu « Malou », à l’état-civil Cho Françoise Kouassi, est une comédienne et réalisatrice ivoirienne ayant commencé les planches au Théâtre national de Côte d’Ivoire puis à la troupe Le Soleil de Cocody. Elle est l’une des protagonistes de l’émission satirique « Faut pas fâcher » et du feuilleton « Ma famille » sur RTI1. « Un homme pour deux soeurs » est sa première oeuvre cinématographique en tant que réalisatrice.

Ayant participé a plusieurs films sur le continent africain, elle a été consultante dans de nombreuses émissions télé et a également initié le « Yalè festival » qui défend la culture Akyé dans toutes ses composantes.

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La ville de Bouaké (Centre, 335 km au nord d’Abidjan), fief de l’ex-rébellion ivoirienne, s’est réveillée pour la première fois après neuf jours de tension et de tirs nourris dans le calme et la quiétude, suite à un accord conclu après de longues négociations vendredi de 14 H à 22 H entre les soldats mutins et la ministre ivoirien auprès du Président de la République chargé de la Défense, Alain-Richard Donwahi.

Les populations heureuses de l’aboutissement des négociations ont renoué avec les activités commerciales, l’ouverture des marchés et de certains magasins espérant ne plus vivre de telles situations à Bouaké. « Nous ne voulons plus subir ce cauchemar ici à Bouaké », a fait savoir Abdoulaye Traoré, un chauffeur de taxi tout heureux au volant de son véhicule.

« Nous remercions le Président de la République, homme de paix, pour la prise en compte des revendications des mutins », a déclaré un commerçant qui a dénoncé l’attitude des mutins qui, a-t-il dit, ont fait du tort aux populations au lieu de les protéger.

L’accord approuvé par un groupe de militaires qui revendiquaient des primes, l’amélioration de leur salaire et leurs conditions de vie et de travail invite les soldats à regagner leurs casernes, sans plus de détails.

Les négociations initialement prévues pour se tenir au centre culturel Jacques Aka de Bouaké ont débuté dans le calme à 14H30 à la résidence du préfet de la région de Gbèkè avant de connaître une phase d’achoppement après quatre heures de discussion sur le montant des primes. Les mutins en colère ont demandé à la presse autour de la résidence de quitter les lieux puis ont fait tonner plusieurs tirs nourris jusqu’à 22H.

Le ministre chargé de la Défense, Alain-Richard Donwahi, était accompagné à Bouaké par le nouveau chef d’État-major général des armées, le général de division Touré Sékou et du commandant supérieur de la gendarmerie, le général de brigade Nicolas Kouakou.
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