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La direction générale des douanes ivoiriennes, à l’instar de celle du monde entier, célèbre ce jeudi, la Journée internationale de la douane autour du thème « l’analyse des données au service d’une gestion efficace des frontières ».
« A travers ce Thème, l’OMD voudrait encourager ses membres à poursuivre leurs efforts dans le domaine des Technologies de l’Information et de la Communication », a expliqué le représentant de l’organisation mondiale des douanes (OMD), le colonel Sangaré Souleymane.
Selon le colonel Sangaré, grâce aux évolutions des technologies de l’information et de la communication (TIC) et à l’élargissement de leur utilisation, il est de plus aisé d’accéder à des données ouvertes, de les analyser, d’en tirer les informations nécessaires pour fixer les priorités, prendre les décisions opportunes, mesurer la performance, définir les stratégies et mener plus efficacement des activités opérationnelles.
Le directeur général des douanes par intérim, le colonel Da Pierre a souligné que l’analyse des données peut ainsi, dans une grande mesure, servir de pierre angulaire aux objectifs fondamentaux de la Douane qui sont le recouvrement des recettes, la sécurité des frontières, la collecte de statistiques commerciales et la facilitation des échanges. « L’objectif poursuivi par la communauté douanière toute entière est à travers l’analyse des données d’engager la Douane sur la voie de nouveaux succès en matière tant de contrôle que de facilitation », a commenté le directeur général.
Le représentant du ministre du Budget et du Portefeuille de l’Etat, le directeur de cabinet adjoint, Sidy Cissé a exprimé la « ferme volonté » du Gouvernement à accompagner l’administration des douanes ivoiriennes afin de relever les défis liés à l’utilisation optimale des données et contribuer ainsi, à l’atteinte des objectifs fondamentaux à savoir le recouvrement des recettes, la collecte des statistiques du commerce international, la sécurité transfrontalière et la facilitation des échanges.
Instituée par l’Organisation Mondiale des Douanes (OMD) depuis 1953, la journée internationale de la douane vise à souligner les efforts de toutes ces femmes et de tous ces hommes qui s’acharnent au travail dans les administrations douanières de leur pays respectif. Cette journée s’ouvre avec la troisième édition de la semaine des douanes ivoiriennes qui démarre par des conférences en rapport avec le thème de la journée.
AIP
A l’issue d’une rencontre mercredi à Abidjan entre le gouvernement et la plateforme des fonctionnaires en grève, un consensus est en voie d’être trouvé entre les parties sur la question de la bonification indiciaire de 150 points.
Le ministre de l’Economie et des Finances, Adama Koné, a expliqué que les deux parties ont convenu de se mettre d’accord sur la concordance des chiffres en vue d’une prise de décision. « Sur tous les points passés en revue, nous avons les mêmes objectifs mais pour pouvoir prendre la décision, il faut que les choses soient concordantes. Nous avons mis nos collaborateurs au travail pour parvenir à des chiffres concordants pour permettre à l’autorité de regarder et de décider », a-t-il indiqué.
Pour le président de la plateforme des fonctionnaires, Gnagna Zadi Théodore, sur la question des 150 points d’indice, les deux parties se sont effectivement mis d’accord pour s’entendre sur les chiffres. « Le gouvernement parle de 21 milliards, certains de nos camarades parlent de 17 milliards », a-t-il déclaré.
Gnangna Zadi a expliqué qu’en ce qui concerne le stock des arriérés, le gouvernement continue de plaider pour laisser tomber la question. « J’ai fait un plaidoyer spécialement au Président de la République pour lui dire que ce qui se passe sur le terrain n’est pas une défiance, c’est un cri de cœur de ses enfants qui attendent de lui qu’il fasse quelque chose », a-t-il dit.
« Le moment était venu pour que nous sortions de la crise, que le gouvernement fasse un geste. Sortons des chiffres et posons un pas pour que notre pays reprenne. Que le Président voit dans sa caisse ce qu’il peut donner pour que le pays puisse reprendre le lundi », a conclu Gnagna Zadi.
AIP
Coup de cœur, cris de cœur, coup de gueule. Sortie des plus surprenantes- mais aussi des plus émouvantes- de l’artiste chanteuse ivoirienne Josey sur sa page Facebook officielle le jeudi 26 janvier 2017. Sous un message d’un ton à la fois lyrique et pathétique, l’auteure-interprète du tube à succès « Diplôme » affiche publiquement, pour la première fois, une photo de son nouveau-né, venu au monde début janvier 2017. L’artiste qui a été l’objet de plusieurs railleries durant sa grossesse, attribuée par des médias et internautes au footballeur Serey Dié, capitaine des Eléphants de Côte d’Ivoire –mais jamais confirmé-, trouve les mots pour souhaiter la bienvenue à ce bébé de sexe masculin dont elle n’a pas dévoilé le prénom.
" TOI L'INNOCENT"
« Mon enfant,
Bienvenue mon bébé. Bienvenue sur cette terre. Je te fais ce mot publiquement, pour que tu le vois demain quand tu seras grand, ceci pour anticiper que demain, les rageux de ta pauvre mère que je suis, voulant te faire mal, ne te jettent au visage que tu es un enfant adultérin. Je voudrais te demander PARDON mon bébé, car je te fais payer, TOI L'INNOCENT, en te faisant subir la méchanceté de personnes à qui j'ai voulu faire du bien, en réfléchissant à un thème qui leur ferait plaisir. Beaucoup se sont mariés grâce à cette chanson, qui me "condamne " aujourd'hui... », lâche, d’entrée, l’artiste.
Mais aussi, Josey n’en démord pas contre ces personnes qui l’accusent (à tort) sans savoir son vécu. Car, révèle-t-elle, cet enfant fait d’elle « une mère pour la première fois », elle « qui (a été) traitée de stérile ». « J'en suis plus qu'heureuse car je découvre de belles choses étant dans cet état (seules celles qui sont passées par là savent) ... », écrit-elle. De quoi toucher plusieurs fans qui se sont rués sous ce post, multipliant les likes et les des commentaires la félicitant et l’encourageant.
La chanson "Diplôme" de Josey dépeint la mélancolie quotidienne des femmes concubines qui attendent, en vain durant plusieurs années, que leurs hommes officialisent leur union par le mariage "devant le maire". Une situation bien réelle dans les foyers ivoiriens, qui a vite fait d'assurer un succès fulgurant à ce tube, même au-delà des frontière ivoirienne.
Mais la figure montante de la musique féminine ivoirienne était loin de se douter que les gens ne différencient pas souvent l'artiste dans son rôle d'interprète et l'artiste en tant que personne, ayant une vie privée. Avec cette grossesse, son rôle de "porte-voix" des femmes éternelles concubines, a fini par causer d'énormes préjudices à sa personne, tout comme, il y a des années, ce que vivait l'actrice Angéline Nadié, jouant le rôle de méchante mère de Michel Bohiri dans le feulleton ivoirien à succès "Ma famille". Cette dernière était parfois victime d'attaques diverses dans sa vie réelle à cause du rôle qu'elle incarnait dans la série. De même que l'acteur "Jimmy Danger", de son vrai nom Laurent Ibo, pour ses rôles de "voyou" qui est souvent stéréotypé comme tel dans la société. Pour le cas Josey, les mélomane qui voyaient en elle moins qu'une simple interprète dans son rôle qu'une porte-voix, n'ont pas hésité à la placarder dès qu'ils ont appris qu'elle était tombé enseinte sans être mariée, et de surcroît, vraissemblement (selon eux), d'un homme marié.
"Pas une erreur… pas indésiré "
« Ce sont les mêmes, qui ne savent rien, qui t'insultent aujourd'hui... Oh Oui mon bébé, cette terre sur laquelle tu es venu, pour illuminer ma vie, est malheureusement truffée de méchanceté.
Je veux que tu sache mon bébé, que quel que soit ce qui arrivera, tu n'as pas été une erreur, et tu n'as pas été indesiré. Tu es issu d'un amour... si les ignorants ont fait de ta pauvre mère une prostituée, mon enfant sache que ton père et moi, sommes fiers de t'accueillir parmi nous », déblatère Josey dans son message à son fils. Avant d’insister : « De plus tu es chanceux, car tu bénéficies des bénédictions de ta famille certes, mais aussi de la bénédiction des amoureux de la musique de Maman. Tu as bel et bien un père, c'est ce qui compte. Peu importe qui il est ou qui il n'est pas, peu importe ce que j'ai fait ou pas fait, sache que celui-ci est FOU AMOUREUX DE TOI et assume PLEINEMENT ses responsabilités de père. Tu fais de moi une mère (…) une femme mâture qui a eu le choix de te garder », relève Josey. Répondant ainsi subtilement à ceux qui ont accusé son présumé amant de lui avoir demandé d’avorter contre son gré.
« Mon petit GARÇON… ma muse »
Et l’artiste de conclure par un gage. Celui de faire de bout de choux sa source d’inspiration. « Dorénavant mon nouveau cheval de bataille sera MON FILS, mon petit GARÇON, et comme beaucoup d'autres avant moi, mon inspiration, ma muse, ma vie sera dédiée à toi, mon enfant et rien ne viendra entraver cette marche», assure-t-elle. Mais implicitement, en écrivant les substantifs « FILS » et « GARÇON » en lettres capitales, Josey émet là un démenti sec à ceux qui avaient annoncé, il y a quelques semaines, qu’elle avait mis au monde une fille.
Même si elle laisse sur leur faim les « affairés » qui s’attendaient à ce qu’elle dévoile ou confirme le nom du père de son bébé -où à défaut le prénom de sa progéniture-, même si des internautes ne comprennent pas, par contre ni l'opportunité ni la pertinence cette sortie de Josey, elle aura tout de même réussi à toucher le cœur de plusieurs de ses admirateurs. Des fans qui, en moins de trois heures après sa publication, ont effectué plus de 40.000 réactions et plus de 5000 commentaires pour ce seul post.
Armand Tanoh
L’Université de Man (dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire), dont la première phase construction a pris fin récemment, va ouvrir ses portes en février 2017 et devrait accueillir ses premiers étudiants, au nombre de 500. L’information a été livrée le mercredi 25 janvier 2017 par le porte-parole du gouvernement, le ministre Bruno Nabagné Koné. C’était au terme d’un Conseil des ministres. Selon M. Nabagné Koné, un décret modificatif de création de cet institut a été pris lors de ce Conseil. Il s'agira de la sixième université publique ivoirienne, après les universités Félix Houphouët-Boigny et Nangui Abrougoua d'Abidjan, l'université Alassane Ouattara de Bouaké, les universités Lorougnon Guédé de Daloa et Péléforo Gon Coulibaly de Korhogo.
Spécialités
D’un coût global de 184 milliards de francs CFA, l’Université de Man sera dédiée à la formation en Agroforesterie, Tourisme, Mines et Géologie, Energie, Métallurgie, Mécanique. Des spécialités qui correspondent, selon le gouvernement, aux potentialités de la région du Tonkpi. Elle vise à terme un effectif de 20.000 étudiants.
Vision
La réalisation de cette infrastructure répond à la vision du président de la République de Côte d’Ivoire, Alassane Ouattara, d’ouvrir les nouvelles universités d’autres régions du pays. Ce, en vue de désengorger universités existantes, notamment à Abidjan, Bouaké, Korhogo et Daloa. Après l’Université de Man, cap sur celles de San Pedro et de Bondoukou.
A T
Le procureur de la République de Bastia a ouvert mercredi, une enquête pour « provocation et incitation à la haine raciale » dans l’affaire des « cris de singe » contre le footballeur niçois Mario Balotelli.
L’incident était survenu lors d’un match contre Bastia, le 20 janvier. Un supporter de l’équipe corse s’est récemment dénoncé auprès du Sporting et son abonnement aux matches du SCB a été immédiatement désactivé.
Le club a demandé à son service de sécurité de lui interdire l’accès au stade Armand-Cesari de Bastia et a également saisi « en urgence » le préfet de Haute-Corse pour obtenir une interdiction administrative de stade visant le supporter.
L’international italien d’origine ghanéenne avait accusé le lendemain du match une partie du public corse d’avoir « fait des bruits de singe (…) pendant tout le match », rapporte le site d’information www.francetvinfo.fr.
AIP
Le gouvernement met en garde les auteurs des messages alarmistes via les téléphones portables et les journaux, leur rappelant que leurs actes sont passibles de poursuites judiciaires.
Son porte-parole, Bruno Nabagné Koné, a notamment dénoncé ces messages, estimant qu’ils visent à « troubler la quiétude » des populations alors que le pays est secoué par des troubles liés d’une part à la mutinerie qui a secoué le pays au cours de la première semaine du mois de janvier et d’autre part à la grève que conduisent les fonctionnaires depuis plus de deux semaines.
« Des informations fausses sont répandues dans la presse, des SMS alarmants sont envoyés tout cela pour créer une situation de trouble. Le gouvernement tient à mettre en garde les auteurs », a-t-il averti.
« Chaque fois que nous le disons à l’avance on ne nous entend pas. Le jour il y aura des personnes arrêtées, on va commencer à dire on a arrêté des gens, il faut les libérer. Nous préférons actuellement mettre en garde au moment où personne n’est encore arrêtée. Nous préférons attirer l’attention sur le fait qu’il est possible de remonter à certains des auteurs de ces SMS et dans le cas où certains sont pris, c’est la rigueur de la loi qui s’appliquera. Que chacun le comprenne », a insisté le porte-parole du gouvernement.
AIP
La 7ème édition du salon international du tourisme d’Abidjan (SITA) aura lieu du 28 avril au 1er mai, a annoncé le directeur général de Côte d’Ivoire Tourisme, Jean-Marie Somet, lors de la 37e édition de la Foire internationale du tourisme (FITUR) de Madrid (Espagne), rapporte une note d’information parvenue à l’AIP.
Le SITA se veut un creuset de rencontres et d’échanges, un moment privilégié pour évoquer tous les aspects du développement du tourisme dans la sous-région, mais aussi une occasion pour promouvoir davantage la destination Côte d’Ivoire, relève-t-on.
La 6ème édition du SITA a eu lieu en avril 2016, conjointement avec le tenue de la 58ème réunion de la Commission de l’organisation mondiale du tourisme (OMT) en Côte d’ Ivoire. Elle a mis l’accent sur un hommage aux victimes de l’attentat terroriste de Grand-Bassam, en vue de promouvoir davantage la destination Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
AIP
La capitale économique ivoirienne, Abidjan, va abriter jeudi, une conférence publique du Pr Hauhouot Asseypo portant sur « Les universités africaines face à la question de l’innovation », selon une note d’information de l’Académie des sciences, des arts, des cultures africaines et des diasporas africaines (Ascad) transmise mercredi à l’AIP.
A cette occasion, Pr Hauhouot Asseypo envisage démontrer que l’innovation est l’un des thèmes majeurs de la responsabilité sociale des universités. Son intérêt, dans le cas particulier de l’Afrique est d’exiger plus que partout ailleurs la recherche, « chemin incontournable du progrès des nations ».
Selon l’ancien président de l’Université de Cocody, la recherche universitaire se développe en Afrique à travers plusieurs résultats de chercheurs éminents mais elle ne peut accéder à l’innovation véritable, « faute de valorisation », causant du retard au continent et son exclusion de la gouvernance mondiale.
Dès lors, les universitaires sont invités à rechercher des voies qui mènent à l’enrôlement réel des universités africaines dans l’édification de la force scientifique et technologique des Etats, préalable à tout changement de paradigme.
AIP
Grande gueule, Belle voix, l’éminent et émérite journaliste Eugène Dié Kacou, 71 ans, publie, aux éditions Passerelle, ses « témoignages d’un journaliste téméraire » à travers un « savoureux » ouvrage autobiographique de 178 pages, intitulé « Tu t’appelleras : Eugène Kacou ! », riche d’anecdotes historiques, cocasses ou humoristiques des expériences vécues en famille, à l’école ou au service.
Ses démêlés avec le ministre Laurent Dona Fologo et le premier président ivoirien, feu Félix Houphouët-Boigny, narrés dans un style simple et direct, sont un poignant témoignage, une délicieuse découverte de cet esprit rebelle et frondeur, dont la noblesse du sang ne s’est jamais accommodée de la moindre dérogation, goûtant les privations de la prison pour la défense de ses principes.
L’ouvrage se veut une visite à travers le passé récent de la Côte d’Ivoire dont quelque 350 membres des familles des personnes dont il parle assisteront, samedi, à la dédicace au siège de la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) à Cocody, sous le patronage du ministre de l’Economie et des Finances, Koné Adama, et le parrainage du directeur de la RTI, Ahmadou Bakayoko.
D’autres dédicaces sont prévues le 2 février à la librairie de France et le 4 février à Grand-Bassam, sous le parrainage du ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman.
AIP