Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
Armand Tanoh

Armand Tanoh

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Les 500 espèces répertoriées de primates non humains sont aujourd’hui menacées d’extinction de la surface de la terre dans les 50 années à venir si rien n’est fait, selon un article paru le 18 janvier dans la revue internationale « Sciences Advances ».

Le directeur de la Recherche et du développement du Centre suisse de recherches scientifiques (CSRS), le Pr Inza Koné, et une trentaine d’autres chercheurs ont produit ont révélé, dans un document écrit, que la menace de disparition qui plane sur les primates est le résultat des pressions sans cesse croissantes que les humains exercent sur les primates et leurs habitats. Ce sont, entre autres, la déforestation, la chasse et le commerce illégal, l’expansion de l’agriculture industrielle ainsi que de l’élevage à grande échelle, l’exploitation forestière, les forages pétrolier et gazier et l’exploitation minière. A ces pressions humaines, s’ajoute le changement climatique.

« Si les humains continuent à modifier et à dégrader les habitats, de sorte qu’ils ne conviennent plus aux primates, ces habitats finiront par devenir inadaptés pour les humains eux-mêmes », ont averti les scientifiques qui interpellent l’humanité sur l’étroite corrélation entre sa survie et celle des primates.

Ces derniers, au vu de leur proximité avec l’homme, offrent « un aperçu unique de l’évolution humaine, de la biologie, du comportement et de la menace des maladies émergentes ». Au plan médical, les primates, notamment les chimpanzés, se présentent comme d’excellents guides dans la recherche de plantes à forte valeur thérapeutique et nutritionnelle. Leur extinction peut donc constituer un frein à la découverte de solutions face aux épidémies dont souffrent les hommes, préviennent les chercheurs.

Face à cette situation, les chercheurs recommandent une amélioration des conditions de vie des humains pour éviter que « la plupart des primates vivent dans des régions caractérisées par un niveau élevé de pauvreté humaine et d’inégalités ».

Comme autre solution proposée par ces chercheurs, des « mesures immédiates doivent être prises pour améliorer la santé et l’accès à l’éducation, développer des initiatives durables d’utilisation des terres et préserver les moyens de subsistance traditionnels qui peuvent contribuer à la sécurité alimentaire et à la préservation de l’environnement ».

 

Il est également nécessaire, à en croire les scientifiques, d’établir comme priorité mondiale, la conservation des primates et de leurs habitats, ainsi que l’extension des aires protégées et la mise en œuvre des mécanismes permettant de leur fournir des espaces appropriés.
AIP

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L’Alliance des dirigeants africains contre le paludisme (ALMA) va décerner ses prix d’excellence en matière de lutte contre le paludisme, apprend-on d’un communiqué de presse publié jeudi par l’organisation.

Les prix d’excellence 2017 de l’ALMA seront décernés le 30 janvier à 12:00-13:00 EAT (heure d’Afrique orientale) dans la salle polyvalente du Centre de conférences de l’Union africaine à Addis Abeba, en Éthiopie.

Cette année, les prix de l’ALMA récompensent huit pays dans deux catégories à savoir Impact sur l’incidence et la mortalité du paludisme, et Leadership. Les prix sont remis chaque année dans les bâtiments de l’Union africaine à l’occasion de la Conférence des chefs d’État. Des représentants des pays récompensés, parmi eux des chefs d’État africains, assisteront à la cérémonie de remise des prix, sous l’égide de l’actuel président de l’ALMA.

L’Afrique connaît une progression sans précédent dans la lutte contre le paludisme. Depuis 2000, le taux de mortalité due au paludisme a chuté de 62 % sur le continent pour l’ensemble des catégories d’âge, et de 69 % pour les enfants de moins de cinq ans. En 2015, pour la première fois, plus de la moitié des Africains a dormi sous des moustiquaires imprégnées d’insecticide ou ont été protégés par pulvérisation intradomiciliaire.

Les prix d’excellence de l’ALMA interviennent à un moment important, alors que l’Union africaine a adopté en juillet le Cadre catalytique pour éliminer le sida, la tuberculose et le paludisme en Afrique à l’horizon 2030, une feuille de route visant à éradiquer ces maladies sur le continent.

Fondée en 2009, l’ALMA est une coalition de chefs d’État et de gouvernement africains coopérant par-delà les frontières pour éliminer le paludisme en Afrique d’ici 2030.  Tous les pays de l’Union africaine sont membres de l’ALMA.

AIP

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Le président du Comité national Miss Côte d’Ivoire (COMICI), Victor Yapobi, a procédé au lancement de l’édition 2017 du concours de beauté Miss Côte d’Ivoire, en présence des partenaires, sponsors et représentants du ministère de la Culture et de la Francophonie.

Facteur d’épanouissement des jeunes filles et de distraction des populations, cette édition sera « compacte, efficace, dense, imaginative et innovante », a promis Victor Yapobi.

Elle sera marquée par un renforcement du respect des procédures et critères de sélection des candidates par les comités régionaux et un meilleur encadrement des lauréates pour coller aux critères d’excellence, a-t-il ajouté, lors d’une conférence de presse à l’hôtel Novotel d’Abidjan-Plateau.

Victor Yapobi a remercié les partenaires et sponsors qui soutiennent l’événement depuis 21 ans, en particulier la Première dame, Dominique Ouattara, qui facilite la participation ivoirienne aux compétitions internationales de beauté dont Miss univers.

Outre leur beauté plastique, la culture générale et l’intelligence des candidates seront évaluées sur leur appréciation du thème « emploi jeunes et autonomisation de la jeune fille, facteurs de développement ».

Le président du comité Miss Côte d’Ivoire a insisté sur la gratuité totale du concours, de l’inscription des candidatures au transport en passant par la nourriture et les différentes tenues (maillots de bain, tenues de soirée et traditionnelle) des candidates. Les présélections démarrent le 11 février prochain à Dimbokro et s’achèveront le 24 avril à Daoukro avant la finale prévue en juin à Abidjan.

AIP

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 Le Directeur général du Trésor public ivoirien, Assahoré Konan Jacques  a relevé jeudi une participation mitigée des Spécialistes des valeurs du trésor (SVT) à la mobilisation des ressources sur le marché financier, estimée à 982 milliards F CFA sur un montant total de 1.493 milliards F CFA soit un taux de 65%,  au titre de l’année 2016.

Dans le cadre du développement et de la redynamisation  du marché des titres publics de l’Union monétaire ouest africain (UEMOA), il a été mis en place, en 2016 des  SVT dont l’une des principales missions est de participer aux émissions de titres publics. Ils sont au nombre de dix, rappelle-t-on.

Selon le DG du Trésor qui dressait le bilan des activités des SVT, sur toutes les opérations d’émission de titres publics par adjudication très peu de SVT ont honoré leurs engagements vis-à-vis de l’Etat. La participation de  la majorité des SVT demeure en dessous du minimum requis, à savoir 5% comme stipulé dans l’article 2 de la charte régissant les relations entre le Trésor public et les SVT, a-t-il expliqué.

Il a par ailleurs relevé que le volume des transactions sur le marché secondaire demeure faible,  et indiqué que des objectifs n’ont pas pu être atteints sur quatre émissions par adjudication, entraînant ainsi un écart négatif de 26, 243 milliards F FCA sur ces opérations.

Toutefois félicitant les SVT qui ont respecté leur engagement, il a exhorté certaines structures à davantage soutenir l’Etat. « Les SVT doivent nous aider à trouver des solutions, c’est cela  la responsabilité des SVT,  il y a un effort à faire pour nous accompagner pleinement », a-t-il souhaité.

Au titre de 2017, le Trésor public prévoit une mobilisation de titres publics chiffrée à 1197,1 milliards F CFA, à travers 15 opérations d’émissions de trésorerie entre autres.

AIP

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En marge du sommet de l’Union Africaine à Addis-Abeba, en Ethiopie, le Ministre de la Communication, de l’Economie Numérique et de la Poste, Porte-parole du Gouvernement, Bruno Nabagné Koné, est  invité, pour le compte de la Côte d’Ivoire, à participer aux réunions du comité de pilotage et du Conseil d’Administration de Smart Africa les 29 et 31 janvier.

Smart Africa est un projet de construction d’une infrastructure Télécom clé en Afrique sub-saharienne qui a vu le jour en 2013 et qui est actuellement porté par 15 pays que sont  l’Angola, le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, le Djibouti, l’Egypte, le Gabon, la Guinée, le Kenya, le Mali, l’Ouganda, le Rwanda, le Sénégal, le Soudan du Sud et le Tchad.

Cette initiative est le fruit d’un engagement audacieux et novateur des chefs d’États et de gouvernements africains à accélérer le développement socio-économique durable sur le continent, en propulsant l’Afrique dans une économie du savoir grâce à un accès abordable au large bande et à l’utilisation des Technologies de l’information et de la communication.

L’objectif visé par ces dirigeants est de connecter à d’ici 2020 pour la construction d’une infrastructure TIC robuste et profonde, rapporte une note d’information du Ministère.

La réunion du comité de pilotage se penchera sur l’examen des progrès enregistrés depuis l’établissement du Secrétariat de Smart Africa. Ce sera également le lieu de discuter et d’approuver le lancement de nouvelles initiatives stratégiques TIC à grande échelle, visant à stimuler la demande du marché africain.

 

AIP

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Les Eléphants de Côte d’Ivoire, champions d’Afrique en titre, ont été éliminés, dès le premier tour de la Coupe d’Afrique des Nations, 2017, au terme d’une rencontre, sans grand relief, mais ô combien promise à enjeu par les Aficionados ou bookmakers du football, marquant un coup d’arrêt à six qualifications de suite, en quarts de finale, à cette compétition continentale. Des forces certes qui les ont longtemps portés au pinacle,  mais aussi des faiblesses, jusque-là, insoupçonnées…

 Une défaite qui suscite des polémiques

Sidi Diallo, président de la FIF

Augustin Sidi Diallo, président de la FIF

Les ambitions des Eléphants de Côte d’Ivoire se sont envolées, mardi, à Oyem (…), éliminés  au premier tour de la 31è édition de la Coupe d’Afrique des Nations de football (Can), en s’inclinant par un but à zéro face aux Lions de l’Atlas du Maroc.

Auréolée d’une gloire, construite durant plus de 15 années de présence continue à ce niveau de compétition, et qui a commencé à lui échapper dès son entrée en lice face à la moyenne équipe du Togo, le 16 janvier comme en 2015 face à la  Guinée, cette défaite, inattendue pour bien des observateurs, suscite, à bien des égards, de la polémique, qui nourrit contre-productivement l’analyse sur la prestation d’ensemble du représentant ivoirien, habitué à mieux.

Le manque de cohésion et d’esprit de combativité

Que s’est-il passé pour que les Serge Aurier (Paris Saint-Germain/France), Eric Bailly (Manchester United/Angleterre) et autres Serey-Dié, Wilfried Kanon, Jonathan Kodjia, Bonny Wilfried, Salomon Kalou soient passés à côté de leur CAN ?

L’on n’a pas retrouvé cette image de cohésion et de combativité qui a caractérisé l’équipe nationale à la CAN 2015. L’état d’esprit qui lui avait permis de se surpasser et de remporter la dernière édition,  co-organisée par le Gabon et la Guinée Equatoriale.

Au Gabon, les Eléphants ont donné l’impression que l’on expérimentait une équipe en gestation, pas encore prête à assumer le « lourd héritage » légué par la génération des frères Touré (Kolo et Yaya), Drogba, Didier Zokora, Aruna Dindané et autres Emmanuel Eboué, Boka Arthur et Gervinho Yao Kouassi.

En dépit de l’absence de joueurs emblématiques comme Gervinho et Yaya Touré, les cadres présents tels le milieu défensif Geoffroy Serey Dié ou l’attaquant Salomon Kalou, ont paru tirer leur épingle du jeu.

 La responsabilité de l’encadrement technique

Michel Dussuyer, le sélectionneur des Eléphants de Côte d'Ivoire

Michel Dussuyer, le sélectionneur des Eléphants de Côte d’Ivoire

D’aucuns estiment que le sélectionneur national, le français Michel Dussuyer a visiblement montré ses limites dans ses choix tactiques et dans la construction du jeu d’équipe, alors qu’il est à la tête de l’encadrement technique des Eléphants depuis juillet 2015. Toute chose qui montre qu’il ne maitrisait pas son groupe. Beaucoup regrette déjà François Zahui et Hervé Renard qui avaient réussi a imprimer un mental de guerrier à la sélection nationale, et qui auraient pu conserver un groupe capable de durer dans le temps.

Les éliminatoires de la Coupe du monde 2018 zone Afrique prévus dans sept mois permettront de savoir si cette CAN 2017 a été un accident de parcours ou un réel problème d’envie et de coaching. Sur 22 participations en 31 éditions à la Coupe d’Afrique des nations (CAN), c’est la 8ème fois que la Côte d’ivoire est éliminée à ce stade de la compétition  (1er tour).

(AIP)

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 Le nouveau président gambien Adama Barrow, accueilli au Sénégal voisin depuis le 15 janvier, est arrivé jeudi à Banjul vers 17H00 (locales et GMT), acclamé par une foule en liesse.

Selon l’AFP, M. Barrow a été accueilli par la vice-présidente Fatoumata Jallow Tambajang, sous la surveillance de militaires sénégalais et nigérians cagoulés et lourdement armés, et d’un détachement de soldats gambiens.

M. Barrow, en chéchia et tunique blanches, est descendu d’un avion militaire sénégalais portant l’emblème de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), accompagné par ses deux épouses et plusieurs de ses enfants.

A l’aéroport de Banjul, une foule était massée depuis le début de l’après-midi pour lui réserver un accueil triomphal, avec des groupes de danseurs et de joueurs de tambour.

Accueilli au Sénégal depuis le 15 janvier à la demande de la Cédéao, qui craignait pour lui tant que son prédécesseur Yahya Jammeh refusait de quitter le pouvoir, M. Barrow différait son retour, invoquant des inquiétudes pour sa sécurité.

Vainqueur de l’élection du 1er décembre face à Yahya Jammeh – qui avait initialement reconnu sa défaite avant de se raviser le 9 décembre – Adama Barrow a prêté serment le 19 janvier à l’ambassade de Gambie à Dakar.

Jammeh, qui refusait de céder le pouvoir, a quitté le pays le soir du 21 janvier, sous la pression des tropues militaires de la CEDEAO  pour être accueilli par la Guinée équatoriale.

AIP

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Des individus non identifiés ont mis le feu à un camion podium, support de campagne du candidat de l’Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI), Famoussa Coulibaly, jeudi en fin d’après-midi, au moment où il clôturait un meeting.

Le président du parti arc-en-ciel, Dr Albert Mabri Toikeusse, prononçait les derniers mots de son adresse aux militants lorsqu’une épaisse fumée noire provenant du véhicule a provoqué la débandade, la rencontre se terminant en queue de poisson.

Selon des hôtesses du camion, deux individus ont brusquement fait irruption vers elles, l’un aspergeant le groupe électrogène et le bidon de réserve de carburant d’un liquide et l’autre y mettant rapidement le feu.

Leur forfait accompli et profitant de la panique, les assaillants ont  rapidement pris la fuite.

Mardi lors de son premier meeting, Mabri Toikeusse avait demandé à ses partisans de ne point céder à la provocation. L’objectif étant de « confirmer et conforter » une victoire largement acquise (58%) par Famoussa Coulibaly le 18 décembre puis invalidée par le Conseil constitutionnel.

Accident mortel

Bien avant cet incident, au moins deux personnes tuées et une autre blessée dans une collision survenue à l’entrée de Bingerville (Banlieue Est d’Abidjan), au début de la voie expresse vers la cité Feh Kessé, entre un véhicule et une machine Caterpillar, a appris l’AIP auprès de témoins, jeudi.

Selon ces témoins, l’accident s’est produit vers 15H lorsque le véhicule de marque Kia, immatriculé 2361 HA 01, roulant en direction de Bingerville, ayant à son bord trois personnes dont le conducteur, rentre dans la machine Caterpillar, tuant sur le coup le conducteur, Aboubacar Fofana, et l’un des passagers du véhicule, Konaté Yacouba. Quant au troisième occupant, grièvement blessé, il a été évacué au centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody, indique-t-on.

 

A T

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Selon un communiqué de la présidence de la République de Côte d’Ivoire, le chef de l’Etat Alassane Ouattara, a procédé les 9, 13 et 25 janvier 2017, à plusieurs nominations au sein des forces armée et de la Gendarmerie du pays. Ce document a été lu par le Secrétaire Général de la Présidence de la République, Patrick Achi le jeudi 26 janvier 2017. Ainsi ont été nommés ou confirmés :

 

I/ AU TITRE DES ARMEES

Etat-Major des Armées

- Chef d’Etat-Major Général des Armées : Général de Division TOURE Sékou

- Chef d’Etat-Major Général Adjoint des Armées : Général de Brigade DOUMBIA Lassina

- Chef d’Etat-Major de l’Armée de Terre : Général de Brigade KOUAME N’dri Julien Cébastien

- Sous-Chef d’Etat-Major de l’Armée de Terre : Colonel TRAORE Zanan Hamed

- Chef d’Etat-Major de l’Armée de l’Air : Colonel-Major KOFFI N’Guessan Alfred

- Sous-Chef d’Etat-Major de l’Armée de l’Air : Colonel-Major BLEOUE Ehui Roger Kacian

- Chef d’Etat-Major de la Marine Nationale : Contre-Amiral Djakaridja KONATE

- Sous-Chef d’Etat-Major de la Marine Nationale : Capitaine de Vaisseau Major N’GUESSAN Kouamé Célestin

Armée de Terre

- 1ère Région Militaire (Abidjan) :

Commandant : Colonel-Major FLAN Yibagbeu

Commandant en second : Lieutenant-Colonel FOFANA Norrossotié

- 2ème Région Militaire (Daloa) :

Commandant : Colonel DEM Ali Justin

Commandant en second : Lieutenant-Colonel FOFIE Kouakou Martin

- 3ème Région Militaire (Bouaké) :

Commandant : Colonel KOUAME N’Goran Léon

Commandant en second : Colonel DOUA Michel

- 4ème Région Militaire (Korhogo) :

Commandant : Colonel –Major Zoumana DIARRASSOUBA

Commandant en second : Colonel CISSE Mamadou Dassira

- Bataillon de Commandement et de Soutien :

Commandant : Lieutenant-Colonel KONE Gaoussou

Commandant en second : Chef de Bataillon YOMAN N’cho Michel

- Groupement Ministériel des Moyens Généraux :

Commandant : Colonel BOBLE Lambert

Commandant en second : Lieutenant-Colonel YAO KOFFI Aimé

- Garde Républicaine :

Commandant : Lieutenant-Colonel OUATTARA Issiaka

Commandant en second : Lieutenant-Colonel Idriss Coulibaly

- Groupement des Sapeurs-Pompiers Militaires :

Commandant : Colonel SACKO Issa

Commandant en second : Lieutenant-Colonel KONE Nanklan

- Groupement de Sécurité du Président de la République :

Commandant : Général de Division DIOMANDE Vagondo

Commandant en second : Lieutenant-Colonel COULIBALY Ibrahima Gon

- Ecole des Forces Armées :

Commandant : Colonel OUASSENAN Jean-Hubert

Commandant en second : Lieutenant-Colonel AKA Germain

- Ecole Nationale des Sous-Officiers d’Active :

Commandant : Lieutenant-Colonel KOUASSI Bi Vigoné Eustache

Commandant en second : Chef de Bataillon NEBOUT Antoine Roger

- Ecole Militaire Préparatoire de Bingerville :

Commandant : Lieutenant-Colonel TCHOUME Hervé

Commandant en second : Chef de Bataillon DANHO Josué Parfait

- Centre d’Instruction pour la Formation Initiale des Militaires du Rang :

Commandant : Lieutenant-Colonel KOUAKOU Konan René

Commandant en second : Capitaine KONATE N’golo Soumaïla

- 1er Bataillon de Commandos et de Parachutistes :

Commandant : Lieutenant-Colonel Chérif OUSMANE

Commandant en second : Lieutenant-Colonel ATSIN Aké Thierry Marc

- 1er Bataillon Blindé :

Commandant : Chef d’Escadron GUEFFIE Pacôme Alban

Commandant en second : Capitaine N’DRIN Bandama

- 1er Bataillon du Génie :

 Commandant : Lieutenant-colonel Touré Sory

Commandant en second : Lieutenant-colonel Mel Armel Rosenberg

- 1er Bataillon d’Infanterie :

Commandant : Lieutenant-Colonel DOUMBIA Brahima

Commandant en second : Chef de bataillon OKOU ATSIN Henry

- 2ème Bataillon d’Infanterie :

Commandant : Lieutenant-Colonel KAKOU Hubert

Commandant en second : Lieutenant-Colonel FODIO Kouadio

- 3ème Bataillon d’Infanterie :

Commandant : Lieutenant-Colonel TOURE Hervé

Commandant en second : Lieutenant-Colonel YAO Koffi Jacques

- 4ème Bataillon d’Infanterie :

Commandant : Lieutenant-Colonel TRAORE Dramane

Commandant en second : Chef de Bataillon SEAHET DE Gouhouo Rolland

- Bataillon d’Artillerie Sol-Air :

Commandant : Lieutenant-Colonel BES Arthur

Commandant en second : Chef d’Escadron EPOUKOU YAPI Nazaire

- Bataillon d’Artillerie Sol-Sol :

Commandant : Chef d’Escadron HOBBAH Koffi Eric

Commandant en second : Chef d’Escadron SADIA Gba Yéréman

- Bataillon de Sécurisation de l’Est :

Commandant : Lieutenant-Colonel OUATTARA Morou

Commandant en second : Chef de Bataillon GUIBRO Nicolas

- Bataillon de Sécurisation de l’ouest :

Commandant : Lieutenant-Colonel FOFANA Losséni

Commandant en second : Chef de Bataillon AMONCHI Démonsthène

- Bataillon de Sécurisation du Sud-Ouest :

Commandant : Lieutenant-Colonel DRAMANE Soro

Commandant en second : Chef de Bataillon CAMARA Tiègbè

- Bataillon de Sécurisation du Nord-Ouest :

Commandant : Lieutenant-Colonel KOUAKOU Kouamé

Commandant en second : Commandant SOA Valery

- Unité de Commandement et de Soutien :

Commandant : Lieutenant-Colonel KONE Zakaria

Commandant en second : Capitaine AKE Obrou Marius

Armée de l’Air

- Base Aérienne d’Abidjan :

Commandant : Colonel TOURE Fama

Commandant en second : Colonel ODJE Saga Etienne

- Base Aérienne de Bouaké :

Commandant : Colonel KOUAO N’Guetta Julien

Commandant en second : Colonel GAMBY-SAKHO Boubacar

- Fusiliers Commandos de l’Air :

Commandant : Commandant BOUADI YAO Grégoire

Commandant en second : Capitaine Ben Ibrahima BA

Marine Nationale

- Bâtiment « EMERGENCE » :

Commandant : Capitaine de Corvette DADIE Vallès

Commandant en second : Lieutenant de Vaisseau ALLO Cédric Mathieu

- Bâtiment « Le BOUCLIER » :

Commandant : Lieutenant de VaisseauGUIE Ghislain

Commandant en second : Enseigne de Vaisseau de Première Classe KONE Kahafolodji

- Bâtiment « CAPITAINE DE FREGATE SEKONGO » :

Commandant : Lieutenant de Vaisseau COULIBALY Kati Franck

Commandant en second : Enseigne de Vaisseau de Première Classe KOUAKOU Djaiblond

- BASE NAVALE ABIDJAN :

Commandant : Capitaine de Frégate ESSIGAN Ahico Gilles

Commandant en second : Enseigne de Vaisseau de Première Classe KONE Manga

- BASE NAVALE SAN-PEDRO :

Commandant : Lieutenant de VaisseauEddie MINDI

Commandant en second : Enseigne de Vaisseau de Première Classe COULIBALY Mamadou

- BASE NAVALE LAGUNAIRE ADIAKE :

Commandant : Capitaine de Corvette EHUI Gnamien

Commandant en second : Enseigne de Vaisseau de Première Classe KOULAGNAN Kimoutemon

- FUSILLIERS MARINS COMMANDOS :

Commandant : Capitaine de Frégate PALE Djami

Commandant en second : Lieutenant de Vaisseau SOUMIA Guy

Commandement des Forces Spéciales

Commandant : Général de Brigade DOUMBIA Lassina

II/ AU TITRE DE LA GENDARMERIE NATIONALE

Ont été nommés ou confirmés :

- Commandant Supérieur de la Gendarmerie Nationale : Général de Brigade KOUAKOU Kouadio Nicolas

- Commandant Supérieur en second de la Gendarmerie Nationale : Général de Brigade TOURE Alexandre Apalo

- Commandant de la Gendarmerie Territoriale : Colonel-Major KOUASSI Kaunan René Stanislas

- Commandant de la Gendarmerie Mobile et des Unités Spécialisées : Colonel-Major Bakari DOUMBIA

- Commandant de la 1ère Légion de Gendarmerie Territoriale (Abidjan) : Colonel YEO Ousmane

- Commandant de la 1ère Légion de Gendarmerie Mobile (Abidjan) : Colonel M’BAHIA Patrick Alexandre

- Commandant de la 2ème Légion de Gendarmerie Territoriale (Daloa) : Lieutenant-Colonel BOLLI Degui Florent

- Commandant de la 2ème Légion de Gendarmerie Mobile (Daloa) : Lieutenant-colonel KOUAKOU Edoh

- Commandant de la 3ème Légion de Gendarmerie Territoriale (Bouaké) : Colonel ETTE Djadji

- Commandant de la 3ème Légion de Gendarmerie Mobile (Bouaké) : Lieutenant-Colonel DIOMANDE DOUAGON Laye

- Commandant de la 4ème Légion de Gendarmerie Territoriale (Korhogo) : Colonel YAPO Yapo Denis

- Commandant de la 4ème Légion de Gendarmerie Mobile (Korhogo) : Lieutenant-Colonel TANGBA Parfait

- Commandant de la 5ème Légion de Gendarmerie Territoriale (San-Pedro) : Lieutenant-Colonel ASSANDE Ferdinand

- Commandant de la 6ème Légion de Gendarmerie Territoriale (Yamoussoukro) : Lieutenant-Colonel AIDARA Ibrahima

- Commandant de la 6ème Légion de Gendarmerie Mobile (Yamoussoukro) : Lieutenant-Colonel KONE Sounan

- Ecole de Gendarmerie D’Abidjan : Colonel BAKAYOKO Lassana

- Ecole de Gendarmerie TOROGUHE : Lieutenant-Colonel KOUAKOU Koffi Serge

- Groupement d’Intervention et de Sécurité : Lieutenant-Colonel BASSANTE Ali Badara

 

 

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Un promoteur d’énergie solaire, Jernie Vernetti, a annoncé jeudi lors d’une réunion à la préfecture d’Odienné, la construction d’une centrale électrique à hauteur de 20 milliards FCFA dans cette ville du nord-ouest ivoirien, pour produire de l’énergie solaire.

Présentant la rencontre comme une prise de contact avec les autorités et les populations pour annoncer le projet et chercher un site pour l’installation de la centrale, M. Vernetti a fait savoir que la construction de cette infrastructure vise à produire de l’énergie pour l’Etat ivoirien.

Le projet ne concerne pas la distribution de l’énergie qui est dévolue à la Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) mais elle consiste à produire de l’énergie pour renforcer le réseau national, a précisé Jernie Vernetti.

Plusieurs entreprises ont déjà fait des prospections à Odienné en vue de l’installation d’unités de production d’énergie solaire. Les autorités préfectorales et les élus locaux ont déjà identifié un site sur l’axe Odienné-Tiémé pour installer toutes les entreprises de production d’énergie solaire, souligne-t-on.

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