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Les travaux du bitumage de l’axe Bloléquin-Toulépleu–pékan barrage, lancés par le ministre des infrastructures au début de l’année 2016, sont en bonne voie car depuis quelques jours la présence de gros engins sont entrés dans leurs phases visibles d’exécution des travaux.
Le dégagement fait par les bulldozers s’arrête à ce jour au niveau de Djibobly dernier village de Bloléquin situé à seulement 4 km de Diaybly premier village de Toulépleu et à 29 km de la ville de Toulépleu et à environ 47 km à partir de la fin de l’ancien bitume (yoya).
Les populations des villages situées sur l’axe sont également heureuses de la présence depuis quelques jours de gros engins qui sont entrés dans leurs phases visibles d’exécution des travaux.
Les propriétaires des maisons touchées par le tracé de la voie dans les villages cibles de Toulépleu mais qui n’ont pas encore été visités par les machines, ont eux-mêmes déjà débuté la démolition de ces maisons et laissé les plantations au soin des engins, signe de leur collaboration.
Tronçon Bloléquin-Guiglo, un calvaire pour les usagers
La voie bitumée Bloléquin-Guiglo n’est plus du tout praticable pour les usagers à cause de l’état de dégradation très avancé du bitume, a constaté l’AIP ce jeudi.
Selon Ali Mohamed transporteur, «long d’environ 60 kilomètres, la dégradation de cette route a un impact négatif direct sur les activités commerciales en général et particulièrement celles liées aux produits café-cacao de la zone ».
Aujourd’hui sur l’axe Bloléquin /Guiglo, on compte en moyenne plus d’une centaine de nid-de-poule de deux à trois mètres de rayons sur chaque kilomètre qu’on parcourt. Il existe par endroit des nids-de-poule de 15 a 150 mètres qui joggent le long de la route. « La conduite y est devenue très délicate au point qu’on ne plus passer les 60 Km/h » a-t-il ajouté.
L’axe Bloléquin /Guiglo a été bitumé par l’entreprise des travaux publiques Jean-Lefèvre il y a plus de deux décennies rappelle-t-on.
(AIP)
AIP
Le Ministre du Commerce, de l’Artisanat et des PME, Diarassouba Souleymane, a déclaré vendredi à Grand-Bassam, que l’Artisanat constitue le bassin de l’emploi avec 40% de la population active et 12 % du BIP.
«L’Etat a le devoir de vous accompagner parce que l’Artisanat constitue le bassin de l’emploi en Côte d’Ivoire avec 40% de la population active et 12% du PIB », a-t-il déclaré lors de sa visite au Centre de Ressources Professionnelles Pays (CRP) à Grand-Bassam deux semaines après sa prise de fonction en vue de rencontrer tous les artisans pour toucher du doigt les réalités de leur secteur.
«Ma présence avec mon équipe est un engagement pris pour rencontrer tous les collaborateurs de mon département et toucher du doigt les problèmes du secteur de l’Artisanat» a-t-il indiqué pour justifier l’objet de sa visite.
Au cours de cette rencontre, les préoccupations et besoins de cette structure ont été exprimés par l’Administrateur Nifo Fofana après une brève présentation du CRP à savoir l’aménagement de l’espace d’exposition et des magasins existants , l’équipement de la galerie virtuelle en eau , en électricité , en connexion internet, en salle polyvalente, pour un démarrage effectif .
AIP
Le Syndicat national des agents des organes des secteurs publics et para-publics de l’information (SYNINFO) et l’Intersyndicale, les deux principaux syndicats de la RTI qui projetaient une grève de 48 heures à partir de lundi, ont suspendu samedi ce mot d’ordre, a appris l’AIP auprès de ces structures.
« La grève des agents de la RTI prévue pour le lundi 30 et mardi 31 janvier 2017 est suspendue. La direction de la RTI et les syndicats poursuivent les négociations », indique une note d’information co-signée par les leaders du SYNINFO et de l’ISMI, respectivement Kouadio Amonzame et Yaouhet Malik, dont copie a été transmise à l’AIP.
Ces syndicats réclament, entre autres, le paiement des effets financiers des avancements catégoriels, la transformation en Contrat à durée indéterminé (CDI) les contrats des agents en situation de Contrat d’assistance technique (CAT) et Contrat à durée déterminée (CDD) ayant effectué au moins deux années d’activité au sein de la boite.
« Les secrétaires généraux du SINYNFO et de l’Intersyndicale appellent les camarades à faire plus d’effort dans l’accomplissement des travaux quotidiens pour le bonheur de nos clients que sont : les auditeurs et les téléspectateurs. Merci pour la bonne compréhension », conclu cette note d’information.
Joint au téléphone par l’AIP, le secrétaire général du SYNINFO, Kouadio Amonzame, a confirmé l’authenticité de ce document, indiquant que « pour l’instant les syndicats et la direction continuent les négociations ».
Dans une note d’information adressée aux agents, signée du directeur général Ahmadou Bakayoko, dont l’AIP a également reçu copie, la direction révèle que lors des premières discussions, elle a fait des propositions qui, selon elle, tiennent compte « des attentes sociales tout en restant prudent dans la gestion ».
Il s’agit du « Paiement fractionné de la valeur du point (à 50% au 1er janvier 2017 et 50% complémentaire au 1er janvier 2018) au lieu du 1/3, prévu par la Convention de mars ; la régularisation sur le salaire de février 2017 du manque à gagner de janvier 2017 ; la création d’une plateforme de dialogue et de réflexion pendant trois mois avec un rythme hebdomadaire de rencontre pur traiter tous les autres points de revendications ; et l’obtention de la levée immédiate du préavis de grève ».
Société d’Etat, la RTI est le groupe de médias audiovisuels publics de la Côte d’Ivoire. Elle compte près de 700 agents.
AIP
Le président de la Coalition Des Leaders du Parti Au Pouvoir de Cote d’Ivoire (CLPP-CI), Augustin Ouattara, a proposé samedi à la maison de la Presse au Plateau, un troisième mandat au président de la République, Alassane Ouattara, pour selon lui, favoriser une alternance du pouvoir sans crise politique.
«Depuis que le Président Alassane Ouattara a rendu public sa volonté de quitter le pouvoir en 2020, le pays n’a plus connu de tranquillité car chacun de nos cadres pense être le meilleur acteur pour l’alternance du pouvoir en 2020, ce qui nous a conduit à ce désordre que nous avons constaté depuis un mois avec les mutineries et la grève des fonctionnaires, raison pour laquelle nous demandons au Président Ouattara de rester encore au pouvoir pour cinq ans le temps pour lui de bien organisé le pays» a-t-il indiqué.
Augustin Ouattara a dans la même lignée invité les cadres du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la Paix (RHDP) à créer un cadre de réflexion pour statuer ensemble sur le cas du successeur du président Alassane Ouattara après son troisième mandat pour éviter un conflit entre alliés de la coalition au pouvoir.
« Nos frères militaires et nos parents fonctionnaires restent sceptiques quant à la prise en compte de leurs problèmes par le successeur du président Ouattara en 2020 car chacun veux être le meilleur choix pour l’alternance ce qui risque de créer un désordre sans précédent raison pour laquelle tous ces remous » a-t-il ajouté avant de féliciter le gouvernement et les fonctionnaires pour les décisions raisonnables prises pour la stabilité du pays.
AIP
Plusieurs agents électoraux signalent l’absence de torches, de piles et de calculatrices dans la perspective des dépouillements des bulletins du scrutin législatif partiel à Divo.
Ces anomalies ont été portées à la connaissance de la Commission électorale indépendante qui n’avait pas encore apporté de solutions idoines en début d’après-midi.
Pour « éviter les surprise désagréables », certains présidents de bureaux de vote ont fait appel à leurs biens personnels pour mener à bien leur mission.
Les bureaux de vote ferment à 18 H et aussitôt débute le dépouillement avant la compilation de tous les résultats à la sous-préfecture, rappelle-t-on.
AIP
Le centre de santé de la protection maternelle et infantile (PMI) du quartier Comikro est partie en fumée, ravagé par un incendie, jetant la désolation au sein de la population, a constaté samedi l’AIP sur place dans la capitale du N’zi.
Le centre de santé qui a été ravagé comprend trois services, la section femme/enfants sains, la section dispensaire et la section laboratoire pharmacie. «C’est aux environs de 9h30 que j’ai vu une fumée noire qui sortait du bâtiment et j’ai commencé à crier pour alerter les habitants du quartier. Moi-même j’avais commencé à faire sortir mes bagages », a raconté une riveraine Yao Amoin Michelle qui a plaidé pour une réhabilitation rapide du centre de santé.
Selon la première responsable de la protection civile,N’guessan Edith cette situation interpelle tout le monde, sur la nécessité de doter les agents de sa structure de moyens pour être efficace. Elle a raconté qu’il a fallu 02 h 30 mn pour circonscrire ce feu « causé par un court-circuit » à l’aide de « moyens de fortune » notamment des seaux d’eau. « Avec l’aide de la population nous avons pu venir à bout de l’incendie Vous voyez que le feu couve encore sous les cendres et tout a brûlé », a-t-elle souligné.
Le maire Bilé Diéméléou Amon Gabriel qui s’est rendu sur les lieux du sinistre a déploré cette situation qui met à mal les efforts consentis pour le bien-être des populations. « C’est la désolation, la tristesse. On nous a dit que l’origine serait électrique. Depuis trois semaines avec la grève, les équipements sont peut être restés branchés mais le centre n’est pas fréquenté par ceux qui sont malades et par ceux qui y travaillent», a déploré le maire, rassurant la population pour une solution rapide.
AIP
Disposant la formation du tunisienne sur le score sans de deux buts à zéro, les Etalons du Burkina Faso accèdent en demi-finales, la troisième fois de leur histoire footballistique.
Grâce aux buts, à la 81ème mn, de Aristide Bancé (entré à la place de Cyrille Bassolé à la 77ème mn) et, à la 84ème mn, de Nakoulma qui, parti des 40 m, élimine le portier tunisien avant de balancer la balle dans les poteaux vides, le coach Duarte et ses poulains ont obtenu leur ticket des demi-finales pour affronter le vainqueur du match Ghana-Cameroun, prévu pour 19H GMT ce même samedi.
Débutée le 14 janvier, la 31ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations au Gabon prendra fin le 5 février prochain, rappelle-t-on.
AIP
La Secrétaire exécutive adjointe de la Commission économique pour l’Afrique (CEA), Giovanie Biha, a exhorté jeudi, à l’ouverture de la réunion ministérielle africaine pré-consultative sur la 61ème Commission de la condition de la femme à Addis-Abeba, en Ethiopie, les gouvernements africains à appliquer la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes et la Charte africaine des droits des personnes, en supprimant toutes les lois nationales discriminatoires, afin de les aider à accéder librement, à leur tour, au marché du travail et à améliorer leur bien-être social et économique.
Selon elle, les écarts généralisés entre les sexes empêchent les femmes, en particulier les jeunes femmes, d’acquérir les compétences requises pour accéder à des possibilités d’emploi moyen, élevé et technique, entrainant, par conséquent, la majorité des femmes africaines (plus de 70%) dans l’emploi informel, caractérisé par la précarité, les bas salaires endémiques et les conditions de travail difficiles.
Cette situation, a souligné la secrétaire exécutive adjointe de la CEA, expose les femmes aux risques, car elles n’ont pas accès à la protection sociale ou aux services de sécurité sociale liés à l’emploi formel, entraînant une double discrimination relative à l’égalité des sexes et à la discrimination inhérente à la nature du secteur informel.
AIP
L’ex-international basketteur franco-ivoirien Richard Dakoury-Tabley dont les parents sont originaires de Ouragahio (14 km de Gagnoa), a fait don d’équipements sportif à ladite commune, vendredi, lors d’une cérémonie à la mairie organisée en présence du maire, Pierre Dakoury-Tabley.
Il s’agit d’un lot d’équipement de sport, comprenant des jeux de maillots, des chasubles, des ballons de football et de basket dont un échantillon a été réceptionné par le directeur régional des Sports et des Loisirs du Gôh, Anassé N’Cho Marcellin, qui à son tour, l’a remis solennellement au maire.
L’e donateur dit vouloir se rapprocher de son jeune frère Pierre Dakoury-Tabley, maire de Ouragahio, afin de voir plus près les possibilités en termes de soutien, et surtout, s’inscrire dans les projets de développement de la commune.
Richard Dakoury-Tabley a eu une carrière de sportif de haut niveau, durant 18 ans. Anciennement capitaine de l’équipe de France de Basket à la fin des années 80, il demeure à ce jour, le sportif français le mieux titré au plan local et international, avec notamment le premier titre d’un club Français de Basket, le CSP Limoges, en championnat d’Europe des clubs, en 1993.
Le maire de Ouragahio a rappelé les attentes de la commune pour cette visite éclair son frère-sportif Richard Dakoury, dont la présence contribue, a-t-il dit, à relever l’engouement pour le basket local, mais aussi à accroître la « crédibilité et l’accessibilité » de la commune à l’extérieur.
AIP
Les populations de la ville et des zones rurales de Vavoua sont confrontées à une pénurie d’eau depuis près de trois mois, contraignant les usagers à une consommation d’eau de mauvaise qualité, rapporte l’AIP.
De Néonéfla à Pélézi sur l’axe Vavoua-Dania en passant par Kpamgbassou, des femmes avec des cuvettes sur la tête parcourent des kilomètres à la recherche d’eau, qu’elles puisent souvent dans des flacs d’eau alimentés par des lits de rivières qui ont tari.
« Il existe une fontaine à environ 500 mètres de notre campement mais, la densité de la population fait qu’ aujourd’hui, cette fontaine n’a plus assez d’eau. Il faut plusieurs pompes pour remplir une cuvette d’eau », déplore Akissi Amelan, une ménagère, ajoutant que seulement une dizaine de femmes peuvent être satisfaites par jour.
Dans plusieurs autres villages de la sous-préfecture de Séitifla, cette pénurie oblige les ménagères à aller chercher de l’eau d’une couleur jaunâtre dans la rivière sacrée, explique le chef du village de Yéorédoula, Douoli Roger. Ce qui les expose à de sérieux risques sanitaires.
Dans la ville de Vavoua, le bidon d’eau vendu dans les charrettes coûte 100 FCFA au lieu de 50 FCFA francs, quand il faut débourser 1.000 FCFA pour remplir une barrique d’eau, apprend-on.
AIP