Contenu - LA DIPLOMATIQUE D'ABIDJAN
LDA Journaliste

LDA Journaliste

Email: Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

L’Union africaine a condamné avec la plus grande fermeté l’enlèvement par des hommes armés de plus de 50 femmes et filles dans la zone d’Arbinda, la Région nord du Sahel, du Burkina Faso.

Dans un communiqué, le Président de la Commission de l’Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a condamné, avec la plus grande fermeté, l’enlèvement de plus de 50 femmes et filles, les 12 et 13 janvier courant, dans la zone d’Arbinda, la Région nord du Sahel, du Burkina Faso, par des hommes armés non identifiés.

Le Président de la Commission a demandé la libération immédiate des femmes et des filles enlevées, y compris leur retour en toute sécurité dans leurs familles et leurs communautés, exhortant, en outre, les autorités nationales à ne ménager aucun effort pour traduire en justice les auteurs de ce crime odieux.

M. Moussa Faki Mahamat s’est dit particulièrement préoccupé par le fait que les groupes armés prennent pour cible les femmes et les filles dans le cadre de leur stratégie visant à terroriser les communautés.

Le Président de la Commission «réaffirme la solidarité de l’Union africaine avec la nation frère du Burkina Faso et reste résolu à soutenir les autorités pour le rétablissement de l’ordre constitutionnel et la recherche d’une paix durable ».

Une cinquantaine de femmes avaient été enlevées jeudi et vendredi par des terroristes présumés à Arbinda, selon des responsables locaux et des habitants de cette localité.

Selon le témoignage de plusieurs habitants et de responsables locaux, un premier groupe d’une quarantaine de femmes a été enlevé à une dizaine de kilomètres au sud-est d’Arbinda et un autre d’une vingtaine le lendemain au nord de cette commune. Certaines ont pu s’échapper et regagné leur village pour témoigner.

hn

 
 

Comment

Le Canada a décidé de livrer des véhicules blindés à l’Ukraine, dans le cadre d’une aide supplémentaire aux autorités ukrainiennes qui réclament à leurs alliés occidentaux davantage d’armes lourdes pour faire face à la guerre contre la Russie.

La ministre canadienne de la Défense, Anita Anand, qui s’est rendue mercredi à Kiev, a annoncé qu’Ottawa donnera 200 véhicules blindés supplémentaires.

“Cette aide, évaluée à 90 millions de dollars, fait partie de l’aide additionnelle à l’Ukraine de 500 millions de dollars annoncée en novembre 2022 par le premier ministre Justin Trudeau”, rapporte Radio Canada.

Environ 230 soldats canadiens sont déployés dans le cadre d’une mission de formation des Ukrainiens aux combats au Royaume-Uni et en Pologne, lancée en 2015, ajoute la même source.

De nombreux pays occidentaux, dont les Etats-Unis, la Grande Bretagne et la France ont promis l’envoi d’armements lourds à l’Ukraine, à la veille d’une réunion de coordination, le 20 janvier, sur la base américaine de Ramstein, en Allemagne.

HN

 
 

Comment

I. Présentation sur le concours

Afin de remercier ses partenaires du monde médiatique de Côte d’Ivoire pour leur contribution au renforcement de la compréhension mutuelle et l’amitié entre le peuple chinois et le peuple ivoirien et à la promotion d’une meilleure connaissance sur les fruits de la coopération sino-ivoirienne et sur la Chine, l’Ambassade de Chine en Côte d’Ivoire lance la 6ème édition du Concours Prix Médias 2023—La Chine à mes yeux.

                      

II. Présentation sur les différentes catégories de prix

1. Nom du prix: Prix du Meilleur Reportage.

Critères de sélection: Seront décernés aux auteurs des meilleurs reportages (en formes de texte, de vidéo, ou de photographie) sur la Chine et la coopération sino-ivoirienne ainsi que la coopération sino-africaine, et qui ont été publiés ou diffusés dans les journaux, sur les sites Web, les chaînes de télévision et autres formes de médias de Côte d’Ivoire.

Nombre de lauréats: Plusieurs.

2. Nom du prix: Prix du Meilleur Partenariat.

Critères de sélection: Seront décernés aux institutions médiatiques qui maintiennent un bon partenariat avec l’Ambassade pour raconter la Chine telle qu’elle est et promouvoir la coopération sino-ivoirienne.

Nombre de lauréats: Plusieurs.

3. Nom du prix: Prix de l’Ambassadeur de Chine.

Critères de sélection: Prix d’encouragement aux professionnels des médias.

Nombre de lauréats: Plusieurs.

III. Processus de sélection

Les candidats sont priés de remplir un formulaire d’inscription ci-joint et de l’envoyer, ainsi que la version électronique des reportages réalisés et publiés au cours de l’année 2022 (textes, images, liens-web, vidéos, extraits audios) à Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. avant le 3 février 2023. Tous les lauréats recevront des certificats de prix accompagnés de primes tandis que tous les candidats validés recevront de petits cadeaux d’encouragement.

Source : Ambassade de Chine en Côte d’Ivoire

Comment

Le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle, Pierre Dimba, a effectué, le lundi 16 janvier 2023 à Abidjan, une visite au Centre national de prévention et de Traitement de l’insuffisance rénale (CNPTIR), au service des grands brûlés du SAMU et au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody. Il entendait s’imprégner des capacités de prise en charge des patients *par ces structures hospitalières et s’assurer surtout de l’état d’avancement des différents travaux de construction et de réhabilitation.

« J’ai profité de la journée de ce lundi pour visiter les services essentiels, très stratégiques tels que le CNPTIR, qui prend en charge les malades de rein, le SAMU, et le CHU de Cocody où nous avons plusieurs chantiers, notamment le pôle Mère-Enfant qui est en finition, mais également les paliers qui sont en réhabilitation, pour me faire une idée sur leurs capacités de prise en charge des patients et m’assurer que les travaux tels que programmés se déroulent bien », a déclaré le ministre Pierre Dimba.

Le Pôle mère-enfant du CHU de Cocody dispose d’un bloc opératoire de 5 salles, d’un Pôle Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique, d’une maternité comprenant un bloc d’hospitalisation de Pédiatrie médicale et de chirurgie Pédiatrique. Il comprend également un service de consultation prénatale pédiatrique, un laboratoire et un service de gynécologie.

Ces services permettront au CHU de Cocody de prendre en charge les femmes enceintes et leurs enfants des communes d’Abidjan ainsi que des villes environnantes.

En réponse aux difficultés rencontrées par certains patients du CNPTIR et des brûlés admis dans les unités de prise en charge du SAMU, le ministre Pierre Dimba est revenu sur l’importance de la CMU, un moyen qui permettra aux patients de bénéficier d’une bonne prise en charge. Il a donc appelé les populations, à adhérer à cette assurance maladie.

KM

Comment

Les élections sénatoriales auront lieu le 12 mars prochain au Cameroun, selon un décret signé vendredi par le président camerounais Paul Biya.

Le vote se dérouleront de 08H00 à 18H00 heure locale (de 07H00 à 17H00 GMT) dans les chefs-lieux des départements du pays, précise le décret.

Le Sénat, la chambre haute du parlement bicaméral du Cameroun, est composé de 100 sièges, renouvelés intégralement tous les cinq ans. 70 sénateurs seront élus au suffrage indirect par un collège constitué des conseillers municipaux et régionaux dans les dix régions du pays, tandis que les 30 autres seront nommés par le chef de l’Etat.

Conformément à la loi électorale camerounaise, les candidats, qui doivent avoir au moins 40 ans et faire partie d’un parti politique, peuvent déposer leur candidature dans les 15 jours suivant la convocation du collège électoral.

Le Cameroun a tenu ses premières élections sénatoriales en 2013, après l’introduction d’un amendement constitutionnel à la chambre haute du parlement en 1996. Les dernières élections sénatoriales du pays se sont tenues en 2018.

hn

 
 

Comment

Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a fermement condamné l’attaque meurtrière perpétrée dimanche dans une église à Kasindi, dans la province du Nord-Kivu en République démocratique du Congo.

Selon les rapports préliminaires, au moins 12 civils ont été tués et 50 autres blessés lorsqu’un engin explosif a explosé pendant le service religieux du dimanche tenu dans cette église.

Dans un communiqué, le chef de l’ONU a exprimé ses plus sincères condoléances aux familles endeuillées, au peuple et au gouvernement de la RDC, en souhaitant un prompt rétablissement aux blessés.

Soulignant la nécessité d’établir les responsabilités pour les auteurs de cette attaque, M. Guterres a indiqué que le Service de l’action contre les mines des Nations Unies (UNMAS) soutient les autorités congolaises dans la conduite de l’enquête sur les circonstances de l’incident.

Il a en outre réaffirmé que les Nations Unies, par l’intermédiaire de sa Représentante spéciale en RDC, continueront à soutenir le gouvernement et le peuple congolais dans leurs efforts pour instaurer la paix et la stabilité dans l’est du pays.

L’ONU rappelle, par ailleurs, que sa Mission pour la stabilisation en République démocratique du Congo (MONUSCO) assure l’évacuation médicale des blessés, en coordination avec les autorités congolaises.

Le porte-parole de l’armée de la RDC, Antony Mualushayi avait qualifié cette attaque d'”acte purement terroriste”, en annonçant l’arrestation d’un suspect de nationalité kényane.

Dans un tweet, le ministère congolais de la Communication a évoqué un “attentat à la bombe perpétré visiblement par des terroristes ADF”, les Forces démocratiques alliées.

hn

Comment

Quatre-vingt-six journalistes et professionnels des médias ont été tués dans le monde en 2022, soit un tous les quatre jours, selon les données de l’UNESCO, ce qui souligne les “graves risques” que continuent de courir les journalistes dans l’exercice de leur fonction et leur grande vulnérabilité, indique, lundi, l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture.

“Après plusieurs années consécutives de baisse, la forte augmentation du nombre de journalistes tués en 2022 est alarmante. Les autorités doivent redoubler d’efforts pour mettre fin à ces crimes et veiller à ce que leurs auteurs soient condamnés, car l’indifférence est un facteur important de ce climat de violence”, souligne Audrey Azoulay, la Directrice générale de l’UNESCO, citée dans un communiqué de son organisation.

Le pic de meurtres atteint en 2022 marque un renversement de la tendance positive observée ces dernières années : de 99 meurtres commis en 2018, le nombre était tombé à une moyenne de 58 meurtres par an de 2019 à 2021, selon l’Observatoire de l’UNESCO des journalistes tués, ajoute la même source.

Ces chiffres rappellent qu’à travers le monde, l’État de droit est parcouru de “fissures croissantes”, et témoignent de l’incapacité des États à remplir leurs obligations en matière de protection des journalistes, de prévention et de poursuite des crimes à leur encontre, relève-t-on.

Si toutes les régions ont été touchées, l’Amérique latine et les Caraïbes ont été les régions les plus dangereuses pour les journalistes en 2022, avec 44 meurtres, soit plus de la moitié de tous ceux qui ont été commis dans le monde.

L’Asie et le Pacifique ont enregistré 16 meurtres, tandis que 11 journalistes ont été tuées en Europe de l’Est.

Selon l’UNESCO, dans environ la moitié des cas, les journalistes n’ont pas été tués pendant qu’ils exerçaient leurs fonctions : ils étaient en voyage, à leur domicile, dans des parkings ou d’autres lieux publics lorsqu’ils ont été pris pour cible.

Et d’ajouter que cette situation s’inscrit dans la continuité d’une tendance observée ces dernières années et implique qu’il n’existe aucun lieu sûr pour les journalistes, même pendant leur temps libre.

Le nombre de journalistes tués dans des pays en conflit s’élève à 23 en 2022, contre 20 l’année précédente, la forte augmentation globale du nombre de meurtres intervient donc principalement dans des pays qui ne connaissent pas de conflit. Ce nombre a presque doublé, passant de 35 cas en 2021 à 61 en 2022, ce qui représente les trois quarts de l’ensemble des meurtres commis l’an dernier.

Ces journalistes ont été tués pour différentes raisons, notamment des représailles pour des reportages sur le crime organisé, des conflits armés, la montée de l’extrémisme, ou la couverture de sujets sensibles tels que la corruption, les crimes environnementaux, les abus de pouvoir ou les manifestations, relève le communiqué.

Si des progrès ont été accomplis au cours des cinq dernières années, le taux d’impunité pour les meurtres de journalistes reste particulièrement élevé (86 %), ce qui entrave le travail des journalistes et met en péril la liberté d’expression à travers le monde, observe l’UNESCO, ajoutant que cela prouve que la lutte contre l’impunité reste un engagement urgent pour lequel la coopération internationale doit être davantage mobilisée.

Outre les meurtres, les journalistes continuent d’être menacés par de multiples formes de violence, telles que les enlèvements, les détentions arbitraires, le harcèlement juridique ou la violence numérique, en particulier à l’encontre des femmes journalistes.

Le rapport de l’UNESCO sur les tendances mondiales en matière de liberté d’expression 2021/2022 met en évidence ces défis. Ainsi, les lois contre la diffamation, la cyber-diffamation et la diffusion de « fausses informations » sont parfois utilisées comme un moyen de limiter la liberté d’expression, en instaurant un environnement néfaste pour les journalistes.

km

 
 

Comment

À la date du vendredi 13 janvier 2023, ce sont 1 600 candidats qui ont été auditionnés en vue du recrutement de 4 313 jeunes par les entreprises partenaires du Ministère de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage (METFPA) que sont UTEX-CI, PALMCI et OLAM. Cette information a été donnée à Abidjan-Cocody par le sous-directeur de l’Entreprenariat, de l’Insertion professionnelle et de l’Auto-Emploi de la Direction de l’Apprentissage et de l’Insertion Professionnelle (DAIP) du METFPA, Albert Kramo.

Les différents jurys sont composés des experts, des gestionnaires des Ressources Humaines et de la formation de ces trois entreprises, ainsi que des formateurs des différentes structures de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle. « La sélection se passe bien. On note un réel engouement des jeunes pour tous les métiers. Nous menons ce processus avec les entreprises partenaires dans le cadre du Programme de l’Ecole de la Deuxième Chance », s’est réjoui Albert Kramo.

Selon Ibrahim Bamba, responsable de la Formation à PALMCI, une filiale du groupe agro-industriel SIFCA, les jeunes sont motivés pour tous les métiers retenus dans le cadre de ces recrutements. Au nom de PALMCI, il « a félicité le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage,
Koffi N’Guessan, et le Gouvernement de Côte d’Ivoire pour cette initiative».

Cette première phase de recrutement s’achève le samedi 14 janvier 2023. Elle fait partie d’un processus global qui prend en compte la formation-insertion de 2 800 personnes dans les métiers de la Couture, 279 jeunes (Agent administratif, agent de laboratoire, agent de prélèvement, aide assistante sociale, cuisinier, fille/garçon de salle, gérant Guest house, gestionnaire pharmacie, mécanicien, menuisier soudeur, infirmier, sage-femme, technicien en analyse des eaux, etc.), 794 personnes dans sept métiers (chauffeur véhicule léger, chauffeur poids lourd, conducteur d’engins, ouvrier agricole, pompiste, agent de sûreté et tractoriste), 50 personnes au métier de Formateur de récolte des régimes de palme et 390 personnes dans 14 métiers ( secrétaire, électricien, électromécanicien, mécano soudeur, informaticien menuisier-charpentier, chaudronnier, comptable, commercial, chef couturier, etc.).

Pour rappel, dans son discours à la Nation du 31 décembre 2022, le Président de la République Alassane Ouattara a décrété 2023, année de la Jeunesse. Cette annonce marque la volonté du Chef de l’État de renforcer et d’accélérer l’ensemble des dispositifs d’accompagnement des jeunes, notamment, le renforcement et l’expansion des Écoles de la Deuxième Chance pour ceux qui sont sortis trop tôt du système éducatif ou qui souhaitent se réorienter.

km

Comment

 En marge de la 15ème édition de la semaine de la durabilité d’Abu Dhabi, aux Émirats Arabes Unis, le dimanche 15 janvier 2023, la ministre d’État, ministre des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora, Kandia Camara, a rencontré la diaspora ivoirienne dont la présence remarquée dans plusieurs secteurs clés de ce pays ami honore la Côte d’Ivoire.

Le président de la diaspora ivoirienne, Jean-Paul Wali, a exprimé à la ministre d’État la solidité des relations entre la Côte d’Ivoire et les Émirats Arabes Unis.

« Les Ivoiriens sont une des nationalités les plus respectées aux Émirats Arabes Unis, ce qui fait que la population ivoirienne grandit ici. Nous sommes aujourd’hui 1200 Ivoiriens aux Émirats Arabes Unis, avec plus d’une centaine d’étudiants pris en charge par la bourse émiratie à 100%. Ils arrivent, billets d’avions assurés et salaire du mois pour leur cursus scolaire», s’est-il félicité.

Et d’ajouter que sur le plan économique, les Ivoiriens sont également présents : « Les ressortissants ivoiriens font honneur ici à la Côte d’Ivoire car, ils sont dans plusieurs secteurs clés, ce qui fait que les échanges économiques entre la Côte d’Ivoire et les Émirats Arabes Unis sont au-dessus de plusieurs milliards de FCFA de chiffres d’affaires, l’année ».

La ministre d’État Kandia Camara a, à sa suite, adressé ses félicitations à la diaspora ivoirienne vivant aux Émirats Arabes Unis pour la bonne image qu’elle représente aux yeux des autorités locales. Elle les a invités à prendre une part active aux projets de développement de la Côte d’Ivoire « car, le gouvernement souhaite que la diaspora contribue beaucoup à l’essor économique de la Côte d’Ivoire ».

Pour rappel, du 14 au 19 janvier, sous le thème "Unis pour l’action climatique en vue de la COP28", plusieurs Chefs d’État, des décideurs politiques du monde, des chefs d’entreprises, des investisseurs, des jeunes et des entrepreneurs sont réunis à Abu Dhabi pour une série de dialogues sur la transition vers un avenir meilleur pour l’humanité.

La délégation ivoirienne est conduite par le Vice-Président de la République, Tiémoko Meyliet Koné.

km

Comment

Le Vice-Président de la République, Tiémoko Meyliet Koné, est arrivé le samedi 14 janvier 2023, aux Emirats Arabes Unis, où il représentera le Président de la République Alassane Ouattara à la 15ème édition de la Semaine de la Durabilité d’Abu Dhabi (ADSW), prévue du 14 au 19 janvier 2023, dans la capitale émiratie.

Au cours de son séjour, le Vice-Président Tiémoko Meyliet Koné participera, aux côtés de plusieurs Chefs d’État, de leaders d’opinion internationaux, de chefs d’entreprises et d’experts du climat et des énergies, à diverses activités inscrites au programme, notamment la cérémonie d’ouverture de la Semaine de la Durabilité et la remise solennelle du 15ème ‘’Prix Zayed pour le Développement durable’’ doté d’une valeur globale de 3 millions de dollars US.

Cette rencontre offrira l’opportunité à la délégation ivoirienne et aux autorités des Émirats Arabes Unis de procéder à l’examen de divers projets de textes et d’accords de partenariat, dans le sens du renforcement de la coopération entre les deux pays.

En marge des travaux, le Vice-Président de la République aura des entretiens avec plusieurs personnalités et prendra part à des signatures d’accords entre notre pays et divers partenaires internationaux, dans les secteurs de l’énergie, du cacao et du logement.

La Semaine de la Durabilité d’Abu Dhabi (ADSW) est un forum institué par les autorités Emiraties depuis 2008. Elle vise à soutenir la diversification des sources d’énergie, à travers le développement des énergies renouvelables et des technologies subséquentes.

Cette année, elle se tient en prélude à la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP 28), prévue aux Émirats Arabes Unis en décembre 2023.  

km

Comment